Afghanistan, conflit : le travailleur humanitaire de Terre d'Enfance français Eric Damfreville otage des Talibans depuis le 3 avril dernier a été libéré aujourd'hui alors que le 4eultimatum était toujours en cours. Le porte parole des Talibans a indiqué que la libération faisait à la suite de la déclaration de Nicolas Sarkozy qui avait laissé entendre que la France pourrait retirer ses troupes d'Afghanistan. M. Damfreville très affaibli physiquement rentrera en France dès que son état de santé le permettra. – Source : AFP (fr) : {{{n1}}} –
Brésil, religion : ce vendredi, d'après les chiffres de la police, on ne dénombrait pas moins d'un million de personnes, venues de toute l'Amérique Latine, sur le terrain d'aviation de la périphérie de Sao Paulo, où le Pape Benoît XVI célébrait la messe pour la canonisation du premier saint brésilien, le frère fransiscain, Antonio Galvao. – Source : LEXPRESS.fr/Reuters (fr) : {{{n1}}} –
Congo, politique : Le Bureau définitif a été élu au Sénat à Kinshasa. Le vote à la haute chambre du Parlement congolais a enregistré 106 votants et deux bulletins nuls. Léon Kengo Wa Dondo, 71 ans, a battu par 55 voix contre 49 dès le premier tour, Léonard She Okitundu challenger pourtant favori. Trois candidats étaient en lice : She Okitundu, l’ancien directeur de cabinet de Joseph Kabila Kanage, Monseigneur Marini et Léon Kengo ancien Procureur Général de la République, plusieurs fois Premier ministre. En janvier dernier, l'homme de la rigueur comme le surnommait la presse congolaise, a été élu sénateur dans sa province d’origine de l’Équateur.La constitution congolaise stipule qu’en cas de vacance du pouvoir pour cause de décès, de démission ou pour toute autre cause d’empêchement définitif, les fonctions de président de la République sont provisoirement exercées par le Président du sénat, la 2e personnalité de l’État dans l’ordre protocolaire, après le Président de la République – Sources : Afriqu'echos/Magazine (fr) : {{{n1}}} | Journal Chretien (12 mai) (fr) : {{{n2}}} –
France, mouvement social : à la suite de la création de Transavia France, filiale à bas prix de la compagnie Air France, le Syndicat des pilotes d'Air France (syndicat minoritaire) a lancé ce jour un appel à la grève car, entre autres raisons : « Transavia sera créée sans pilotes d'Air France. La régression sociale s'organise au sein du groupe AF-KLM » (selon le communiqué du syndicat). La direction de la compagnie aérienne indique pour sa part que ce mouvement n'aura pas d'incidence sur le trafic aérien. – Source : Yahoo.fr/AP (fr) : {{{n1}}} –
Pologne, politique : la cour constitutionnelle a invalidé la quasi totalité des 46 articles contestés par l'opposition de la très controversée loi sur la décommunisation écrite par les conservateurs Lech et Jaroslaw Kaczynski, respectivement président et premier ministre qui en avait pourtant fait une priorité de leurs mandats. Cette décision aurait dû être révélée le 15 mai, mais la cour a préféré rendre son jugement public plus tôt pour les 95% des 700 000 Polonais qui attendaient la décision pour coopérer ou non. – Source : {{{s1}}} (fr) : {{{n1}}} –
Québec, politique : à quelques minutes d'intervalle, deux « ténors » du mouvement souverainiste québécois annoncent leur candidature à la succession d'André Boisclair, qui a démissionné mardi 8 mai de ses fonctions de chef du Parti québécois (PQ, formation souverainiste provinciale), plusieurs semaines après les mauvaises performances du parti aux élections provinciales.
C'est d'abord Gilles Duceppe, chef de file à Ottawa du Bloc québécois (la formation souverainiste au sein des institutions fédérales du Canada) qui annonce sa candidature.
Quelques minutes plus tard, Pauline Marois, ancienne députée et ancienne ministre dans les institutions provinciales, qui avait annoncé son retrait de la vie politique le 20 mars 2006, quelques mois après avoir été battue par André Boisclair lors de l'élection à la direction du parti, revient sur le devant de la scène et fait à son tour acte de candidature. – Sources : Presse canadienne/Cyberpresse (11 mai) (fr) : {{{n1}}} | La Presse/Cyberpresse (12 mai) (fr) : {{{n2}}} –
Serbie, politique : après les trois mois de blocages politiques qui ont suivi les élections législatives de janvier dernier remportées par le Parti radical serbe (SRS) nationaliste sans qu'il puisse former une majorité, et après la nomination à la tête du parlement du nationalisteTomislav Nikolić de ce même parti, un accord a été trouvé dans la nuit d'hier à aujourd'hui entre les partis pro-européens (le Parti démocratique de Serbie (DSS), le Parti démocratique (DS) et le G17 Plus) pour former un gouvernement d'union nationale. Le principal dossier de ce gouvernement sera l'avenir du Kosovo puisque l'Union européenne demande comme 90% des kosovars l'indépendance alors que cette région est perçue par les Serbes comme étant le berceau historique de leur nation, ce qui implique qu'ils refusent de donner une indépendance totale à la région. – Source : AFP (fr) : {{{n1}}} –