Discussion:France : manifestations du 21 octobre à Poitiers contre le projet du gouvernement sur les retraites

Dernier commentaire : il y a 13 ans par Épiméthée dans le sujet Éléments de journalisme de première main et termes choisis

Éléments de journalisme de première main et termes choisis modifier

  • Attentat est pris aux sens du TLFi I.A.3 ; l’expression est souvent utilisée dans ce sens-là, moins grave que l’acception courante ;
  • je suis resté chez mois ce jour-là
  • pour la rédaction, j’ai fait appel aux sources de presse mentionnées, aux impressions d’un syndicaliste manifestant ce jour-là et qui a recueilli pas mal d’infos (il m’a synthétisé), à quelques réactions recueillies dans l’après-midi par mes soins, à l’interview d’un élève du lycée cet après-midi (prendre le "un" comme un neutre ;-)). Je cherche un autre témoignage complémentaire pour finir l’article ;
  • l’élève « en vue » victime de coups est fluette, et pas du tout virulente. Elle est simplement une tête de file, dans un mouvement peu hiérarchisé et structuré : difficile de l’assimiler à une meneuse ;
  • cette élève est revenue le lendemain matin au lycée, pour corriger l’information fausse de la dépêche d’agence : réellement, elle n’a pas eu trois côtes cassées. Elle est restée plusieurs minutes allongée au milieu de la rue, sans aide autre que de quelques amis. C’est probablement la douleur localisée au thorax qui a fait que les pompiers ont pensé à des fractures (donc douleur très forte) ;
  • les journalistes de Centre Presse ont leurs locaux juste en face, et ne décrivent pas du tout la même chose que ce qui ressort des témoignages que j’ai recueillis et de ceux que France 3 a diffusé (notamment l’interview de la responsable lycéenne). Difficile de croire qu’ils ont fait ce matin-là leur travail ;
  • dans le reportage de France 3, on voit J.-F. Papineau faire des sommations au mégaphone. Il est alors 9 h 30 (la télé arrivant en même temps que les pompiers selon les témoins). Les sommations sont pour la libération du passage dans la rue, en travaux dans un secteur piétonnier ;
  • l’entrée bloquée est l’entrée piétonne, et la seule utilisée habituellement. Il existe d’autres entrée sur cour, généralement ouvertes en cas de blocage. Il existe aussi une entrée sur la rue Charles-Péguy (une vraie entrée de derrière), donc le blocage comme le déblocage sont symboliques. Épiméthée 22 octobre 2010 à 14:10 (UTC)Répondre

MàJ : les effectifs policiers sont corrigés d’après estimation d’un anarchiste (là aussi j’utilise le masculin comme neutre), qui ÀMHA est la meilleure personne pour estimer leur nombre, et qui ÀMHA aussi, doit connaître pratiquement tous les policiers en civil de la place de Poitiers.Épiméthée 22 octobre 2010 à 19:14 (UTC)Répondre

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