Discussion:France : manifestations lycéennes à Poitiers contre le projet du gouvernement sur les retraites

Éléments de journalisme de première main modifier

  1. Le journaliste bénévole est syndicaliste SUD, et participait à l’opération de tractage ;
  2. les lycéens sortant des différents lycées le font par grappes, et le cortège ne les attend pas toujours. Il est donc difficile même d’estimer leur nombre, sauf pour le lycée Aliénor-d’Aquitaine où 150 à 200 lycéens attendaient le cortège en-dehors de l’établissement. Le lycée Camille-Guérin était verrouillé et des agents (administratifs) postés devant les grilles, et le wikimédien n’a vu que de 5 à 10 lycéens faire le mur, de là où il était situé ;
  3. le policier qui donne le chiffre de 600 lycéens a de bons rapports avec le syndicat SUD (d’ailleurs la police était relativement détendue), et ce chiffre est rapporté par un syndicaliste au wikimédien auteur du reportage. Le chiffre de 600 est très plausible ;
  4. l’estimation d’un millier vaut pour le parcours entre campus et centre-ville. Ensuite, une partie des lycéens se sont égayés dans les rues du centre (restauration ou lèche-vitrine ?). Il reste vers 13 h 00, à la gare, quelques centaines de manifestants, dont moins d’une trentaine de salariés ;
  5. quelques anarchistes étaient présents dès le matin. Renforcés l’après-midi, ils sont les auteurs de la banderole qui a ouvert le cortège l’après-midi : « Pas de paix entres les classes ! Guerre sociale ! » ;
  6. le syndicaliste SUD qui relève la poubelle est celui qui réalise le reportage. Il est absent de la manifestation de 10h30 (arrivée au campus) à 13h00 (arrivée à la gare).
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