Discussion:Une motion de défiance fait chuter le gouvernement canadien
Dernier commentaire : il y a 19 ans par Hégésippe Cormier
J'avais mis défiance... j'aurais encore admis que tu mettes motion de censure... mais non-confiance ça sonne franchement pas bien... va falloir un jour ;-))) que je me mette à traduire en Belge certaines dépêches du Figaro. 82.224.88.52 30 novembre 2005 à 06:38 (UTC)
- ;)))))))))))))) Mais t'es drôle toi aujourd'hui... Faager - «?» 30 novembre 2005 à 07:07 (UTC)
- Que les Canadiens francophones aient des locutions, des mots des expressions spécifiques, c'est normal et c'est bien.
- Par contre remplacer "motion de censure" par "motion de non-confiance", je ne suis pas sur que cela soit correcte en français générique.
- A par faire sourire un canadien, je ne vois vraiment l'interêt.
- En plus, ça fait anglicisme comme pas mal de mots fronco-canadien en fait (char qui vient de car qui vient de char, le "CH" se prononçait "K" dans certains terriers normands, la même chose pour cat qui vient de chat ("k" "ch" ...).
- pfff, bon on prends quoi le Larousse, le Robert, les deux ??? comme dico de base ??????
- Il semblerait que ce soit necessaire de le préciser pour éviter -encore une fois - une gueguerre stérille.
- Ou alors il FAUT donner la définition LOCALE de l'expression "non-confiance", sinon pas bon
- JE rappelle que chaque patellins posséde des expressions, c'est la cagade, mais c'est comme ça.
- Si on commence à remplir wikinews d'expressions idiomatiques régionales, les textes vont devenir illisibles même si c'est amusant.
- Mais bon, Une "motion de non-confiance" n'est définitevement pas du français et je rappelle quee TOUS les francophones doivent comprendrent ce qui est ecrit SANS AMBIGUITÉ ...Jacques Divol 30 novembre 2005 à 09:25 (UTC)
- C'est
leun terme utilisémajoritairementde façon non négligeable (merci le bridgeur) par la presse canadienne francophone (un simple aperçu avec la requête "motion de non-confiance" et avec la requête "motion de censure" + canada : on ne peut pas dire que l'expression "motion de non-confiance", dont l'origine est clairement canadienne, soit si marginale que cela). Mais peut-être est-il dans tes intentions d'exclure la participation des francophones autres que Français, par l'interdiction de leurs tournures langagières particulières, si les seules références possibles ne peuvent être que franco-françaises... Je souris en voyant quelqu'un qui fait autant de fautes de français venir faire la leçon sur ce point. :o) Hégésippe | ±Θ± 30 novembre 2005 à 09:44 (UTC)- Cela dit, pourquoi pas « motion de censure », ou mieux – moins « européen » – « motion de défiance » (merci le bridgeur...), mais en spécifiant dans l'article l'usage local visiblement décalqué de l'anglais, et peut-être en ajoutant que l'expression, dans la tradition parlementaire anglo-saxonne (usage de la démission ou du recours à des élections, ce qui est évoqué dans l'article), n'a pas le même sens que dans la tradition française (et inscrite dans le « marbre » de la constitution, qui fait obligation au chef du gouvernement de présenter la démission du cabinet au président de la République). Tant qu'à être informatif, autant l'être le plus possible. C'est aussi cela Wikinews : éviter les approximations d'une certaine presse qui parle de « renversement » de Paul Martin, lequel renversement n'a pas eu lieu, puisque le Premier ministre conserve toutes ses prérogatives jusqu'à la nomination de son successeur, ce qui n'est pas le cas, par exemple, d'un Premier ministre démissionnaire, en France, qui expédie les affaires courantes jusqu'à nomination de son successeur. Un Raymond Barre, par exemple, lors du long « interrègne » (10 jours ?) de 1981, n'avait pas la liberté de manœuvre d'un Paul Martin. Hégésippe | ±Θ± 30 novembre 2005 à 10:09 (UTC)
- Voila qui est plus raisonable, je ne répondrai pas à la première partie insultante de ton message.
- je suis 100% d'acoord sur la deuxième partie (sans effort particulier, je te l'assure et même si j'ai du mal à lire des textes où il n' y a pas de fautes).
- Je suis d'accord, utiliser « renversement », « non-confiance » ou « motion de censure »,... n'est pas gratuit. Il faut bien choisir ses mots. Je pressuposais, à tort que « motion de censure » était le plus correcte pour la francophonie.
- Je suis aussi tombé sur des site web canadiens qui combattent cette usage de mots trop visiblement décalqués de l'anglais et sont ravis de voir comment les français déforment les mots anglais (contrairements aux québécois qui les prononcent correctement, ce qui agasse certains francophiles) Jacques Divol 30 novembre 2005 à 10:28 (UTC)
- Insultante, c'est possible, disons qu'il y a un gros contexte pour expliquer. Pour l'expression définitive (?), je remercie 82.224.88.52 pour ses recherches. À l'heure où j'ai fait les recherches sur les usages parlementaires canadiens, je suis tombé sur une telle « avalanche » de « motion de non-confiance », via Google News (et même certains médias français), qu'il m'a semblé plausible qu'il s'agisse d'une expression consacrée au Canada parmi les francophones. Visiblement, ce n'est pas le cas (ou disons que l'usage est partagé), et finalement j'aime mieux cela car « non-confiance » ne m'était pas très sympathique. Le recours à « motion de censure » me semblait gênant car il évoquait un tout autre cas de figure, plus centré sur l'Europe (France et quelques autres pays, dont l'Allemagne, même si dans ce dernier cas, la procédure de censure impose, comme en 1982, l'accord préalable des parlementaires censeurs sur le nom d'un remplaçant au chancelier destitué). Hégésippe | ±Θ± 30 novembre 2005 à 10:40 (UTC)
- Cela dit, pourquoi pas « motion de censure », ou mieux – moins « européen » – « motion de défiance » (merci le bridgeur...), mais en spécifiant dans l'article l'usage local visiblement décalqué de l'anglais, et peut-être en ajoutant que l'expression, dans la tradition parlementaire anglo-saxonne (usage de la démission ou du recours à des élections, ce qui est évoqué dans l'article), n'a pas le même sens que dans la tradition française (et inscrite dans le « marbre » de la constitution, qui fait obligation au chef du gouvernement de présenter la démission du cabinet au président de la République). Tant qu'à être informatif, autant l'être le plus possible. C'est aussi cela Wikinews : éviter les approximations d'une certaine presse qui parle de « renversement » de Paul Martin, lequel renversement n'a pas eu lieu, puisque le Premier ministre conserve toutes ses prérogatives jusqu'à la nomination de son successeur, ce qui n'est pas le cas, par exemple, d'un Premier ministre démissionnaire, en France, qui expédie les affaires courantes jusqu'à nomination de son successeur. Un Raymond Barre, par exemple, lors du long « interrègne » (10 jours ?) de 1981, n'avait pas la liberté de manœuvre d'un Paul Martin. Hégésippe | ±Θ± 30 novembre 2005 à 10:09 (UTC)
- C'est