Discussion Wikinews:Interviews en préparation/Élection présidentielle française - 2012

Dernier commentaire : il y a 12 ans par Gyrostat dans le sujet Les questions

Présentation

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Je pense qu'il est important de bien présenter Wikinews aux candidat auxquels nous soumettrons notre questionnaire, et je crains que la lettre type qui figure ici ne soit pas assez « percutante »...
A nous de cogiter sur quelque chose de plus accrocheur, sachant que nos « cibles » seront probablement très sollicitées. A mon avis, il faut essayer de leur démontrer qu'ils (ou elles) pourraient recueillir les fruits de leur participation...
Je ne suis pas du tout un spécialiste de la politique, mais on pourrait peut-être jouer sur la notoriété de Wikipedia (après tout, il y a un lien vers Wikinews au §2 - Actualités et évènements de la page d’accueil de wp, donc, nous ne mentirions pas  )

Peut-être quelque chose comme :


Madame/Monsieur,

Vous connaissez l'encyclopédie libre Wikipédia. Wikinews est un recueil de dépêches et de reportages d'actualité « frère » de Wikipedia, entièrement écrit par ses utilisateurs et accessible à tous.

Dans le cadre de la prochaine élection présidentielle, nous avons projeté de publier des interviews des différents candidats et, en tant que participant bénévole du site internet francophone Wikinews, je souhaiterais vous soumettre notre questionnaire, qui est commun à tous les candidats.

Nos questions portent principalement sur :

  • l'élection présidentielle,
  • les grandes lignes de votre programme,
  • l'éducation nationale,
  • la justice et
  • la fiscalité.

Bien entendu, si vous accédez à notre demande, nous vous fournirons, dès sa préparation, un lien vers la page que nous réaliserons à partir de vos réponses et vous aurez toute liberté de correction sur cette page.

Si vous acceptez cette proposition, je vous ferai parvenir le questionnaire par retour. Il est bien entendu que si, à sa lecture, vous préfériez changer d'avis, rien ne vous obligerait à nous le retourner complété. Cependant, nous sommes convaincus que vous comprendrez que la publication de votre future interview vous permettra de mettre en valeur vos idées et vos convictions sur un média entièrement libre, consulté chaque jours par de nombreux internautes.

Dans l'attente de votre réponse, je vous prie, au nom de toute l'équipe des contributeurs de Wikinews, d'agréer, Madame/Monsieur, l'expression de nos respectueuses salutations.

[Nom]


Ceci n'est qu'un premier jet. D'ici à ce que nous lancions le questionnaire, toutes les idées sont bonnes à prendre pour « peaufiner » notre présentation.
Yves 10 octobre 2011 à 15:42 (UTC)Répondre

Je trouve ça très bien. Gyrostat 14 octobre 2011 à 20:06 (UTC)Répondre
Je mettre quelques compléments et de corriger une faute de frappe. Yves 16 janvier 2012 à 17:06 (UTC)Répondre

Questions sur l'éducation nationale

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Certains candidats ont dit vouloir embaucher des enseignements, mais pour quoi faire ?

Étant donné qu'il n'y a pas de diplôme obligatoire pour devenir parent, le gouvernement devrait assurer l'enseignement puis la validation des fondamentaux de chaque citoyen. En effet, cette carence engendre la mauvaise influence que subissent les élèves dans des cours de récréations obligatoires, où ils errent au jour le jour sans but réellement constructif, entre des recopiages de tableaux rébarbatifs, de matières inutiles pour la plupart de leurs avenirs, et imposées sans explication (d'ailleurs peu de personnes les conservent et peuvent y réaccéder ensuite).

De plus, étant donné l'évidence scientifique que quelques dizaines de dirigeants ne peuvent pas avoir l'expérience des millions de français qui ont vécu l'éducation nationale, un portail Web 2.0 (peut-être http://www.unisciel.fr), de type Wiki avec un questionnaire qualité comme dans les entreprises, nous permettrait de prendre connaissance 24h/24 des justifications du programme scolaire actuel, de poser des questions et suggestions destinées à des bénévoles et/ou à une validation de l'État, qui serait alors pleinement informé des options qui s'offrent à lui, comme celles de la liste ci-dessous :

- A l'école nous apprenons encore de force la tête dans le guidon souvent à reculons pour bachoter afin de gagner de l'argent sans forcément créer de richesses, et sans avoir le recul nécessaire à la compréhension de l'univers qui engendre la motivation d'autodidacte et de créateur. Pour les conseils en orientation, il devrait exister des courts métrages avec le quotidien de chaque métier, car un élève ne peut s'imaginer la vie d'un professionnel d'une discipline. Il y a tellement de choses vitales à connaître que l'école primaire ne devrait laisser passer en classes supérieures que des 20/20 (voire avec un rattrapage d'été ou des matières à points exigeant un repassage en cas de perte). Actuellement il y a encore un effet psychologique donnant l'impression que la moitié de l'apprentissage est inutile, et savoir publiquement les notes de ses camarades dont la plupart ont le moyenne banalise les imperfections et incite à rentrer dans cette normalité rebelle qui provoque la discrimination des incompréhensibles différences qui est bien souvent un nivellement par le bas.

- Tous les jours nous utilisons la nutrition (vitamines, oligoéléments...), cependant si nous ne connaissons pas le site du ministère de la santé http://mangerbouger.fr, nous restons dépendants des publicités des marques ou des régimes payants pour nous nourrir (bien que des cours se mettent en place sur http://fr.wikiversity.org/wiki/Absorption_de_nourriture/Introduction). Nous devrions connaître nos besoins quotidiens et comment les combler (magnésium, fer, anti-oxydants...), ainsi que les dangers de l'abus de certains produits légaux (exemple : la cannelle peut-elle être un poison ? Comment éliminer les toxines ?). Idem pour les 30 min de soleil recommandés par jour pour préserver des sécrétions de vitamine D et de mélatonine non délétères. Nous devrions également savoir par cœur nos dépensent énergétiques journalières en kcal, ainsi que celles horaires de chaque sport. De plus, les jeunes devraient effectuer un stage de reconnaissance d'odeurs, afin de ne pas consommer ou respirer de poison.

- En médecine, l'automédication pourrait soigner notre sécurité sociale et désengorger les urgences. Le pack des 12 vaccins recommandés devrait être obligatoire avant 12 ans. Les dépistages devrait aussi être connus, facilement accessibles et systématiques comme un réflexe acquis à l'école. Par ailleurs, des notions de psychologie étant jeune peuvent éviter des dérives mentales en revoyant leurs méthodes de pédagogiques au lieu de mettre en cause un individu confronté à un cas particulier. Cette stabilité du partenaire élève sera d'autant plus constructive quand il sera confronté à la aux injustices de la société actuelle : dissuasion et usure des démarches étatiques et juridiques anachroniques, où à l'heure du numérique il est obligatoire d'envoyer en recommandé à chaque organisme aux coordonnées jamais à jour et qui se renvoient la balle (je cite les Prudhommes de Paris XVI le 10/07/09), une photocopie de chaque document papier dont on est responsable sans explication ni possibilité de les conserver en lieu sûr, quand on est pas obligé de se déplacer pour faire la queue à des kilomètres. Nous devrions tous connaître les gestes qui sauvent et savoir se constituer une trousse de premier secours. Les élèves savent-ils que la médecine du travail recommande pour préserver ses yeux, de ne visionner des écrans qu'à luminosité égale à celle de la pièce ? Enfin, alors que la France manque de donneur de sang, cette opportunité devrait pouvoir être disponible à proximité des établissements scolaires, lieux d'attractions quotidiens.

- En sport, on apprend nullement les faux mouvements, le fait qu'il ne faut pas forcer 2 jours de suite sur les mêmes muscles, ni les exercices quotidiens faisables seul, avec les noms des muscles à travailler chaque jour. Il n'y a même pas la seule chose utile dans le monde du travail : ramasser les charges en pliant les genoux au lieu du dos. De plus, on est actuellement forcés de s'inscrire au judo ou à l'aïkido pour apprendre à chuter.

- Pour le logement, tout le monde est confronté aux pannes d'électricité et aux fuites d'eau. Cependant en se basant sur l'école il nous est impossible, sans perdre de temps et d'argent, de remettre un disjoncteur qui a sauté, changer un fusible, serrer un écrou de plomberie ou encore boucher un trou au mortier. Le jeune qui sait construire se sentira valorisé, utilement intégré, et respectera la valeur de ses semblables. L’école n’apprend ni à construire son logement, ni à créer son entreprise, alimentant l’impuissance individuelle alors que les maux de la société sont le mal logement et le chômage.

- Même si nous connaissons les droits de l'homme, les lois françaises et internationales ne sont pas facilement accessibles (voir ici).

- En langue, le plus important serait d'apprendre l'alphabet phonétique, car il est indispensable à l'apprentissage de la moindre langue. Savoir prononcer chaque son passe par des notions de biologie : http://fr.wikipedia.org/wiki/Consonne. Nous ne connaissons pas le sens des hymnes étrangères, ce qui peut engendrer des rivalités due aux incompréhensions. Chaque enfant devrait avoir une idée objective de chaque pays et race. En communication il y a encore de grosses lacunes, par exemple dans les entreprises le BAC ne permet pas de savoir téléphoner (c'est un métier qui s'apprend en 1h) : pas de notion de feedback, combien de jeunes qui ont raccroché en acquiesçant pour exprimer une compréhension ont été compris par un autre comme acceptant de traiter l'affaire urgent qui finit par être non assignée. En français, il faudrait que chaque élève puisse citer les neuf classes grammaticales du français (cinq classes de mots variables : les noms, les pronoms, les verbes, les adjectifs qualificatifs, les déterminants ; quatre classes de mots invariables : les adverbes, les prépositions, les conjonctions, les interjections). De plus, nous donnerions une nouvelle dimension à la notion de conjugaison avec la liste des verbes défectifs (chaloir, falloir, frire, gésir, pleuvoir, sourdre). En anglais il faudrait un cours sur l'ordre des adjectifs devant les noms (opinion, dimensions, âge, forme, couleur, origines, matériau). Il faudrait aussi le tableau de conversion du système métrique vers les pouces, pieds, yards et miles, ainsi que les grands nombre (ex : billion = milliard). En phonétique anglaise, nous devons savoir que les terminaisons des verbes en -ed changent selon la lettre qui les précèdent (ex : wanted [tid], looked [kt]).

- En histoire, il manque les origines des noms des jours de la semaine (ex: jeudi = jour de Jupiter, en anglais jour de Thor).

- En géographie, il serait intéressant d'obtenir un peu de recul en pouvant accéder facilement à toutes listes récapitulatives cautionnées par l'État (ex : classement des pays par populations, densités, PIB, armes nucléaires, îles classées par superficie car elles ont un statut grammatical particulier : voir ce cours de français).

- En mathématiques, à l'école primaire nous devrions représenter les tables de multiplication lors de leur apprentissage sous forme graphique comme au lycée, pour visualiser les quantités concrètes en plus des symboles. L'ensemble des nombres entiers relatifs ℤ provient de l'allemand Zahlen.

- En physique, l'univers peut se résumer en un paragraphe de synthèse sur les 7 unités de base, et pour les ondes l'échelle partant des rayons gamma haute fréquence aux ondes radios basse fréquence en passant par le spectre de la lumière visible.

- En astronomie, il manque la période de révolution du soleil de 226 millions d'années dans une galaxie voyageant à 552 km/s.

- En informatique, les élèves les plus aisés devraient pouvoir rendre des copies numériques qui prendraient moins d'une seconde à corriger, quelle que soit la matière.

- On peut alors envisager de supprimer les dizaines heures servant à une minorité des actifs. Par exemple, les nombres complexes, la trigonométrie (cosinus, sinus...), les fonctions (exponentielles, logarithmes, dérivées, intégrales, équations différentielles...), les vecteurs (produit scalaire...). Ceci peut avoir un effet de désinformation et d'incompréhension des élèves qui sont alors forcés d'apprendre pour la note sans volonté de creuser ces domaines par eux-mêmes en temps voulu.

De plus, l'effet Pygmalion engendré par l'absence de personnalisation des cours (et pas seulement du cursus), est renforcé par l'inertie d'une institution qui ne demande jamais de retour par questionnaires qualité aux familles, comme le font les entreprises privées. Il en résulte alors une lenteur d'adaptation de l'école, ainsi qu'un manque de confiance en soi et de participation des élèves qui ne peuvent pas prendre les initiatives constructives et bénévoles qui pourraient s'imposer à eux.

Par ailleurs, l'absence de proposition d'école étatique numérique, pour rattraper les cours, effectuer des devoirs de vacances, accéder à des annexes plus complètes voire même assurer la formation continue des adultes, a entraîné des divisions et un manque de directives claires dans le travail des nombreux bénévoles potentiels dont un regroupement important se situe dans des projets collaboratifs sur Internet, tels que UNIX, Open Office et Wikimedia.

Enfin, la maîtrise de la langue étant obligatoire pour devenir citoyens français, tout le monde devrait y avoir accès via un même dictionnaire gratuit, validé par l'État. De plus, il pourrait proposer un script d'extraction de figures de style pour les analyses de textes ou total, et un compteur des lettres et sons des phrases, et même d'entraînement cérébral, dont le rôle est prometteur mais encore mal connu malgré son utilité potentielle, notamment pour la confiance en soi (contre la dépression). Un exemple d'entraînement cérébral mnémotechnique est fournit gratuitement sur mon site personnel. JackPotte 14 octobre 2011 à 21:10 (UTC)Répondre

Ouch. Il faudra que je relise tout ça à tête reposée. Enfin, étant moi même scolarisé dans l'Education nationale, je doit reconnaitre que le bilan que tu dresse est exact. Gyrostat 14 octobre 2011 à 23:27 (UTC)Répondre
Le seul modeste conseil que je peux te donner est bien sûr de réussir tous ces examens, car la pénibilité d'apprendre une matière quelconque pendant un an n'est rien en comparaison de celle de faire partie de la basse caste des mal diplômés. Quand il faut menacer les élèves pour qu'ils apprennent il y a un problème de contenu ou de présentation : pour moi l'école devrait être au moins le meilleur des jeux vidéos. JackPotte 15 octobre 2011 à 07:42 (UTC)Répondre
Salut Jackpotte, j'ai peut-être ça et là mal réagit à tes propos mais alors là je suis étonné de la qualité de l'argumentation et des idées proposées. Essayons peut-être d'en tirer quelques questions et j'ai envie de dire, si elles sont bien posées, et qu'un homme ou une femme politique refuse d'y répondre, c'est que la politique a perdu toute son âme parce que ce sont là des sujets essentiels. Bien cordialement, Karl1263 discuter 15 octobre 2011 à 08:41 (UTC)Répondre
Pas de problème. JackPotte 15 octobre 2011 à 22:18 (UTC)Répondre
J'ai extrait quelques questions des idées exposées ci-dessus. J'ai eu beaucoup de mal à les extraire, je pense que l'on peut en extraire plus, mais, àmha, le meilleur moyen de ne pas laissé ses idées inexploitées serait de donner ces réflexions aux interviewé. Gyrostat 25 octobre 2011 à 17:47 (UTC)Répondre

Questions sur la justice

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La justice peut actuellement être qualifiée de lente : souvent deux ans pour un procès, mieux vaut ne pas avoir un besoin vital de récupérer son argent. Elle est aussi relativement chère, les avocats ne sont pas à la portée de tous (environ 1 500 € la première consultation). Enfin, elle est indéniablement chronophage : les huissiers qui renvoient la balle aux tribunaux et vice-versa, eux-mêmes demandant de se déplacer à différents endroits avec un dossier nécessitant des heures de préparation à partir de zéro. Sans parler des heures de queue à la Poste pour retirer ses lettres recommandées (dont on ne peut pas choisir l'heure de livraison), et la nécessité de conserver longtemps en lieu sûr les originaux de toute cette paperasse.

Au lieu de les contacter pendant le peu d'heures de bureau où nous le pouvons, pourquoi ne pas mettre en place un système identique à la sécurité sociale ? Une carte permettant de n'avoir qu'un seul interlocuteur sans avancer aucun frais, ni remonter tout un dossier avec ses coordonnées à chaque fois. Bref, un accompagnement, une prise en charge qui rassurerait tout le monde et rendrait la société plus sereine (voire plus saine ?). Nous devrions aussi pouvoir accéder à tous l'historique de ses dossiers que l’État hébergerait au titre du service publique pour préserver la vérité (ce serait plus populaire que le fichier EDVIGE pour un rôle plus important). JackPotte 15 octobre 2011 à 22:18 (UTC)Répondre

L'informatique et l’État font deux

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Alors que viennent de naître http://france.fr puis http://www.data.gouv.fr/, on peut se demander si enfin des comptes vont être rendus. Je me souviens entre autres, du débat de la dernière présidentielle où des milliers des Français avaient assisté impuissants à une contestation des deux candidats sur la part du nucléaire dans l'énergie française, chiffre simple mais non élucidé ce jour là, ni le lendemain dans la presse. Plus récemment, Luc Chatel avait déclaré publiquement en septembre que François Hollande possédait "une méconnaissance totale du système" suite à l'annonce du recrutement de 60 000 enseignants. Mais alors pourquoi ne pas mettre tout le monde sur la bonne piste avant de semer le doute en masse ?

Tellement de bénévoles ont construit des sites comme Wikipédia en français par rapport à quoi les services de l’État donnent encore l'image de décors de cinéma. Pourquoi le site du médiateur de la république ne fonctionne pas avec les agences régionales, ni avec l'identifiant des impôts, ni avec la sécu... Il en résulte un système dissuasif et kafkaïen, comme le prouvent encore les lettres en double que l'on peut recevoir du trésor public le même jour, pour autoriser des prélèvements déjà effectués à la banque. Savoir que je finance cette torture numérique à mes dépends, alors qu'un seul site d'interface avec les autorités serait idéal, et que le nombre des bénévoles et de chômeurs suffit largement pour le mettre en place à moindre frais, me procure plus de regrets et de frustrations que d'émerveillement et de patriotisme. JackPotte 28 décembre 2011 à 20:05 (UTC)Répondre

Consommation des ménages

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Pourquoi tous les produits vendus ne sont-ils pas testés, ni par l'AFSSAPS ni par l'UE qui impose des normes à respecter ? Comment éviter une société de cobayes malades non reconnus ? JackPotte 8 janvier 2012 à 22:38 (UTC)Répondre

Sécurité

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Pourquoi ne pas poster des caméras dans chaque rue ? Pourquoi ne pas supprimer l'argent liquide pour éradiquer le travail au noir, la fraude fiscale et autres malversations ? JackPotte 8 janvier 2012 à 22:38 (UTC)Répondre

Les questions

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Sur les questions, je pense qu'il faudrait être le plus possible succinct. Sinon, on va avoir des interviews fleuves, ce qui est au final pas marrant à lire. Je pense qu'il faut plutôt avoir 4/5 thématique et posé, 3/4 questions par thématique. L'éducation (réforme du collège), l'économie/la finance (écologie, sortie de l'euro, diminution de la dette, agence de notation, le logement), la culture (Hadopi), la sécurité (prison, police - de proximité -, légalisation des drogues, immigration), la santé/la vie (hôpital, mariage homo ou union homo - quels droits ? -). Voila par exemple, ce qui pourrait être intéressant. Je pense qu'il faut poser les mêmes questions à tous les candidats, pour garder notre neutralité. mikani (talk talk) 17 janvier 2012 à 09:22 (UTC)Répondre

Effectivement, il va falloir faire un tri. Gyrostat 23 janvier 2012 à 15:53 (UTC)Répondre
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