« Global Witness dénonce le commerce du coltan en République démocratique du Congo » : différence entre les versions

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{{Date|22 juillet 2009}}
Après le [[w:Processus de Kimberley|processus de Kimberley]] et la lutte contre le commerce des [[w:Diamants de conflits|diamants du sang]], les groupes humanitaires internationaux s'efforcent à présent de prévenir les transactions favorisant les hostilités en [[w:République démocratique du Congo|République démocratique du Congo]] (RDC). Dans un nouveau rapport intitulé ''Face à un fusil, que peut-on faire'', l'ONG [[w:Global Witness|Global Witness]] décrit la façon dont le commerce de certains minerais rares alimente les conflits dans la région du [[w:Kivu|Kivu]]. Il s'agit de métaux comme la [[w:Cassitérite|cassitérite]] et le [[w:Coltan|coltan]] qui entrent dans la fabrication des téléphones portables, ordinateurs et autres appareils électroniques.
 
Selon Carina Tertsa Kian, l'auteure du rapport de Global Witness, l'ONG met en cause plus particulièrement deux entreprises européenne et asiatique, la THAISARCO, filiale basée à Bangkok d'AMC, groupe britannique opérant dans le secteur des métaux, Afrimex, société britannique, et Trademet, entreprise belge, ainsi que deux pays : la [[w:Grande-Bretagne|Grande-Bretagne]] et la [[w:Belgique|Belgique]].