« France : Fête de la fraternité, deuxième édition » : différence entre les versions

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Dans le [[w:domaine de Grammont|domaine de Grammont]] à [[w:Montpellier|Montpellier]] en [[w:France|France]], l'association/parti politique, ''[[w:Désirs d'avenir|Désirs d'avenir]]'', où sa présidente [[w:Ségolène Royal|Ségolène Royal]] a tenu sa deuxième ''Fête de la fraternité''.
 
À l'ordre du jour, de nombreux débats, dont un sur l'éducation et un autre sur la fraternité, en présence de militants venus de toutes la France, d'[[w:Algérie|Algérie]] et de [[w:Belgique|Belgique]]<ref>''Montpellier Actu'' du Vendredi 18 septembre 2009. p.3.</ref>.
 
Lors de la conférence sur l'Éducation, ''Université populaire participative sur l'éducation'', [[w:Dominique Bertinotti|Dominique Bertinotti]] avait ''{{citation|un rêve}}'', que tout ''{{citation|enfants qui viennent au monde (...) reçoivent de notre société une réelle égalité des chances}}''.
 
En clôture de ce débat, la socialiste Ségolène Royal est arrivée, attenduattendue par plus de 80 médias<ref name="A"/> et le public présent.
 
C'est alors qu'a commencécommencée la prise de parole sur la fraternité avec des personnalité politiques, [[w:Najat Belkacem|Najat Belkacem]], ou encore [[w:Guillaume Garot|Guillaume Garot]], la journaliste cinéaste [[w:Marie-Monique Robin|Marie-Monique Robin]], plus connu pour son film ''[[w:Le monde selon Monsato|Le monde selon Monsato]]'' et le poète [[w:Daniel Maximim|Daniel Maximim]].
 
C'est Royal qui, pour clôturer la journée, a prononcé un discours devant un parterre de près de 3000<ref name="A">Selon les organisateurs.</ref> partisans déjà conquis lançant des ''{{citation|Ségolène}}'' avant son arrivée.
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On observe un changement radical dans la communication par rapport à la 1ere Fête de la fraternité, où elle était apparue sans pupitre, libre dans ces mouvements, ce qui contraste avec cette deuxième édition, où celle-ci utilise un cadre sobre et répondant au type du meeting politique plus classique.
 
Un militant nous a confié, à propos des triches supposées lors de l'élection du premier secrétaire du [[w:Parti Socialiste|Parti Socialiste]], qu'il ''{{citation|aurait espéré que ce soit Martine Aubry qui soit honnête}}'' et qu'après tout ''{{citation|il faut que çà s'arrête}}''.
 
À de nombreuses reprises, par différents militants, intervenants, on affirmait que leur ''{{citation|adversaire s'est Sarkozy pas le PS}}''.