« Orange facture un médecin urgentiste 160 000 € pour un mois de communications Internet » : différence entre les versions

[version non vérifiée][version non vérifiée]
Contenu supprimé Contenu ajouté
La plupart traduite
m neutralisation
Ligne 6 :
« J'ai souscrit en novembre 2008 un abonnement internet de base par clé 3G à 30 euros par mois » mais « voyant mes factures atteindre des sommes allant jusqu'à 860 euros en avril, j'ai décidé en mai de souscrire un abonnement illimité par clé 3G Orange business à 50 euros par mois. Quand j'ai vu ma facture du mois de mai, je n'en croyais pas mes yeux : 159.212 euros, pour un mois de connexion, c'est impossible, surtout que nous ne l'utilisons pas tout le temps », ajoute ce père deux enfants de 16 et 19 ans.
 
Lors de l'ouverture de l'enveloppe en juin, il attendait trouver une somme avoisinante le coût de son forfait 3G pro. Mais le choc qui lui attendait était de l'ordre de €159 212. Une somme pour un médecin qui néanmoins gagne suffisamment sa vie qui lui donnait les vertiges.
 
Selon ce médecin, France Télécom n'a jamais pris le soin de lui expliquaitexpliquer que le forfait « illimité » ne concernant que le temps passé sur Internet, mais pas le volume du transfert des données, limité à 1 Gigaoctet par mois, ce qui correspond à un usage modéré (exemple : réception des mails sans pièces-jointes). Or, en tant que bons internautes, la famille a utilisé des sites tels que Facebook et YouTube, et a envoyé et reçu des mails avec pièce-jointe. Une utilisation qui a été chère : €0,17 par MegaoctetMégaoctet ou €170 par Gigaoctet. Mais tant que la facture n'était pas arrivée, ils ignoraient ce détail.
 
Les factures non détaillées sont de €53 pour le mois de février, €346 pour le mois de mars, €860 pour le mois d'avril avant d'exploser le compteur en mai. Le médecin relate aussi qui malgré le nombre d'actions croissant de sa part après de son fournisseur, il recevait en réponse des « mises en demeure avec menace de saisie ».
 
Fatigué après six mois de bataille, Dr. Spadaro a perdu patience. « Depuis le mois de juin, j'ai passé des heures à écrire des emailscourriels, des courriers ou à passer des coups de fil à Orange pour demander des explications. On m'a fait passer de plateforme téléphonique en plate-forme téléphonique, de service clientèle en service recouvrement. Personne chez Orange n'a été capable de m'apporter le moindre éclaircissement. Un véritable mur"», indique l'intéressé qui ne s'est jamais rapproché d'aucune association de consommateur, "«par manque de temps et aussi parce que je faisais confiance à mes interlocuteurs"».
 
Fin de la semaine prochaine il tombe par hasard sur l'article sur Internet de l'Observateur du Valenciennois