« Dossier:Crise des CDS » : différence entre les versions

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;10 mars [[w:2000|2000]] : la [[w:Bulle Internet|bulle Internet]] son plus haut sommet historique avant d'éclater, ce qui se traduit par une baisse des taux de la [[w:Réserve fédérale des États-Unis|FED]] et une augmentation sensible du crédit à la consommation. Les prêts sont facilités par l'adossement à l'immobilier ([[w:Subprime|subprimes]]).
;11 novembre [[w:2001|2001]] : la [[w:République populaire de Chine|Chine]] entre dans l'[[w:Organisation mondiale du commerce|OMC]] ; ceci entraine la suppression des droits de douane sur les produits chinois.
En;26 juin [[w:2004|2004]], : les accords dits de [[w:Bâle II|Bâle II]] fixent à 8% le montant de fonds propres qu'un établissement financier doit disposer pour faire face aux risques engagés sur les marchés. Les fonds d'investissement et les sociétés de crédit, dont celles qui ont émis des [[w:Subprime|subprimes]], échappent à cette obligation.
A partir de [[w:2006|2006]], la [[w:Réserve fédérale des États-Unis|FED]] fait éclater la bulle en élevantéleve son taux directeur à {{formatnum:5.75}}% en étranglant de facto les emprunteurs les moins solvables. La [[w:Crise financière de 2008|crise financière de 2008]] devient inévitable :
 
;Août 2007 : Les banques centrales mettent à disposition {{formatnum:400}} milliards d'euros à disposition du marché interbancaire<ref>Le 8 août, la [[w:Banque_centrale_européenne|BCE]] injecte 94,8 milliards d'[[w:Euro|euros]]. La [[w:Réserve fédérale des États-Unis|FED]] injecte 24 milliards [[w:Dollar_américain|USD]] dans le système financier de son pays</ref><ref>La trahison des économistes, [[w:Jean-Luc_Gréau|Jean-Luc Gréau]], Ed. Gallimard, 2008</ref>.