« France : un particulier poursuivi en justice pour un courrier adressé à un recteur d'académie » : différence entre les versions

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L'affaire prend sa source lors de la projection, dans un lycée [[w:Académie de Dijon (éducation)|dijonnais]], d'un petit film promouvant la langue [[w:Allemand|allemande]]. Diffusé en présence de la rectrice, cette dernière adresse de vifs reproches au professeur. La raison ? {{Citation1|Il n'y a pas le logo de l'académie}}, a-t-elle tonné avant de s'en prendre vivement au professeur devant une assistance médusée.
 
L'affaire n'en est pas restée là. L'un des quarante témoins a fort peu apprécié la scène. C'est alors qu'il adresse, à cette haut fonctionnaire, une lettre aux propos particulièrement vifs. Ce particulier a invité la rectrice à davantage de modération : {{Citation1|Quoi qu'il en soit, devant des comportements aussi caricaturalement scandaleux, je ne puis que vous conseiller, soit d'envisager une thérapie zen, soit, en cas d'échec, de prendre la présidence d'une structure dans laquelle on peut donner libre cours à son inhumanité. Pourquoi pas [[w:France Télécom|France Télécom]]}}.
 
La missive n'a pas été du goût de la rectrice, qui a porté plainte pour outrage à fonctionnaire, délit pouvant coûter {{formatnum:7500}} [[w:Euro|euros]] d'amende et six mois d'[[w:Emprisonnement en droit français|emprisonnement]]. Abasourdi, l'intéressé a rejeté les accusations portées par la rectrice. {{Citation1|Il n'y a eu ni insulte, ni intention d'insulter dans ce courrier, mais le rappel d'un haut fonctionnaire à se son devoir d'exemplarité}}, a-t-il confié au ''Bien public''. Selon le quotidien, le rectorat s'est refusé à tout commentaire.
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[[Catégorie:Crimes et délits]]
[[Catégorie:Libertés individuelles]]
[[Catégorie:Gendarmerie]]