« Niger : la junte promet une nouvelle constitution et des élections » : différence entre les versions

[version vérifiée][version vérifiée]
Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
relecture
Ligne 1 :
[[Fichier:LocationNiger.svg|thumb|Localisation du Niger]]
{{date|22 février 2010}}
La [[w:Dictature militaire|junte militaire]] qui a renversé, la semaine dernière, le président [[w:Mamadou Tandja|Mamadou Tandja]], a donné l'assurance d'une normalisation de la situation dans le pays. C'est ce qui ressort d'une visite, dimanche, à [[w:NiameNiamey|Niamey]], d'une mission conjointe de l'[[w:Organisation des Nations unies|ONU]]<ref>Organisation des Nations unies.</ref>, de l'[[w:Union Africaineafricaine|Union Africaineafricaine]] et de la [[w:Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest|CEDEAO]]<ref>Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest.</ref>. La délégation s'est dite encouragée par les garanties données par la junte sur un retour à un régime civil par le biais d'élections.
 
De son côté, [[w:Mohamed Ibn Chambas|Mohamed Ibn Chambas]], le président de la commission de la CEDEAO et médiateur dans la crise nigérienne, a déclaré que la junte dirigera le pays jusqu'à ce que la classe politique se soit mise d'accord sur une nouvelle [[w:Constitution|Constitution]] et soit prête pour de nouvelles élections. Aucun échéancier n'a encore été fixé pour la transition vers un régime civil, mais un porte-parole de la junte, cité par l'agence {{Reuters}}, a déclaré que des élections se tiendraient {{Citation1|le plus tôt possible}}.
 
UnL'un des chefs de la nouvelle junte militaire, le colonel Djibrilla Hima Hamidou, a justifié le [[w:Coup d'État au Niger en 2010|coup d'État]] de jeudi, affirmant que l'armée avait renversé le président Mamadou Tandja pour rétablir la stabilité, celui-ci ayant refusé de quitter le pouvoir à la fin de son mandat, qu'il avait par ailleurs prolongé à la suite d'un référendum controversé.
 
Du côté du président renversé, {{Citation1|Tout ce que nous savons, c'est que le président Tandja est détenu à la Villa verte, une résidence luxueuse, près du palais présidentiel}}, a déclaré à l'{{AFP}}, Ali Sabo, vice-président du Mouvement national pour la société de développement (MNSD, ex-parti au pouvoir). M. Tandja {{Citation1|n'a pas toute sa liberté : les visites lui sont notamment interdites, à l'exception de celle de son médecin}}, a précisé M. Sabo. Pour le colonel Djibrilla Hamidou Hima, {{Citation1|M. Tandja est dans un local appartenant à l'intendance de la présidence et est gardé dans de très bonnes conditions}}.
Ligne 30 :
|auteur=
|publication=VOA News
|date=22 février 2010
}}
 
*{{source|langue=fr
|url=http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jAzw7IMOGi1ht88a29hpjnkNIkPw
Ligne 36 ⟶ 38 :
|auteur={{AFP}}
|publication=Google Actualités
|date=22 février 2010
}}
 
{{Publication}}
Ligne 46 ⟶ 49 :
[[Catégorie:Politique et conflits]]
[[Catégorie:Politique]]
[[Catégorie:Coup d'État]]
[[Catégorie:Élections]]
 
<!-- Ajoutez ci-dessous les éventuels liens inter-langues. -->
<!--<noinclude>[[Catégorie:Modèle d'article|{{PAGENAME}}]]</noinclude>-->