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De décembre 2004 à décembre 2006, le secteur financier a généré un retour sur fonds propres moyen de {{formatnum:25}}%<ref>"The ''ying yang'' of financial disruption", [[w:IBM|IBM]] Institute for Business Value, février 2009.</ref>.
Le montant opaque des instruments financiers dérivés s'est élevé globalement à ${{formatnum:600}} trillions en valeur notionnelle, tandis que 88% (quatre vingt huit pour cent) de ces instruments ont fait l'objet de transaction [[w:De gré à gré|over-the-counter]]<ref>{{en}} Goldsein, Morris. ''A Ten Plank Program for Financial Regulatory Reform'', white paper présenté le 8 décembre 2008 ; Bank for International Settlements Quarterly Review, September 2008.</ref>.
Fin 2008, la bulle sur les dérivés de crédit (CDS) poursuivait son implosion, les montants notionnels étant passés de plus de 62 trillions à 38,6 trillions<ref>[http://tropicalbear.over-blog.com/article-31364563.html Donnée recueillie sur l'ancien blog suddendebt]</ref>. Fin 2009, {{formatnum:31000}} milliards de dollars de [[w:Credit_default_swap|CDS]] échappent à toute régulation hormis celle des 15 institutions de l'[[w:International Swaps and Derivatives Association|ISDA]]<ref>''Papandréou exhorte Obama à combattre les spéculateurs'', [[w:Les Échos|Les Échos]], mercredi 10 mars 2010, page 9.</ref>.
Si l'interconnexion du système financier peut conduire à une allocation efficiente du capital, elle peut aussi créer des niveaux de volatilité plus extrêmes.