« Crise de l'Euroland : Angela Merkel obligée de battre en retraite face à la spéculation » : différence entre les versions

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{{date|12 mai 2010}}
Longtemps opposée, avec Jean-Claude Trichet, à toute intervention du FMI en Europe, Angela Merkel a dû battre en retraite face à la spéculation contre la monnaie unique. Dans un article intitulé {{Citation1|Les jeux pervers des spéculateurs qui ont fait plier Merkel et Trichet}}, {{LCE}} révèlent que les pays de la zone euro feraient {{Citation1|tourner la planche à billet.}} Cette spéculation, révélée dans un précédent article du palmipède, utilise notamment les actifs toxiques comme les CDS qui ont valu la crise financière de 2008. Celle-ci avait amené les États à renflouer les caisses de ces banques prises en faute… en leur empruntant de l'argent. Ceci avait été le cas de la Grèce qui s'était endettée et vu sa note dégringoler par les agences de notations au profit de cette spéculation. Comme le précise Pascal Franchet, {{Citation1|les banques grecques ont perçu 28 milliards d’euros de fonds publics au titre de plans de sauvetage sans aucune contrepartie et maintenant, elles spéculent contre la dette publique en toute impunité.}}
 
== Jusqu'à 750 milliards d'euros injectés ==
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== Une spéculation venant des paradis fiscaux ==
Selon ''le Canard'', les spécialistes des marchés de Paris et de Francfort sont convaincus que {{Citation1|que des banques, pour la plupart américaines mais aussi eurpéennes, spéculent à tout-vas à partir de paradis fiscaux, comme Gibraltar}} en utilisant des {{Citation1|plate-formes électroniques (…) échappant donc à tout contrôle des autorités de régulation.}} Aussi, la Chancelière allemande, Angela Merkel, a dénoncé le comportement de ces banques {{Citation1|renflouées par les État}} et qui spéculent {{Citation1|sur les dettes publiques qu'elles ont pourtant contribué à creuser.}}
 
Comme le précise Pascal Franchet<ref>Pascal Franchet est vice-président du CADTM France (Comité pour l'Annulation de la Dette du Tiers Monde).</ref>, {{Citation1|les banques grecques ont perçu 28 milliards d’euros de fonds publics au titre de plans de sauvetage sans aucune contrepartie et maintenant, elles spéculent contre la dette publique en toute impunité.}}
 
== Voir aussi ==