« Algérie : deux attentats à la bombe font des dizaines de morts » : différence entre les versions
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Deux bombes ont explosé à [[w:Alger|Alger]], capitale d'[[w:Algérie|Algérie]], tuant au moins 67 personnes. Les explosions provenaient de voitures piégées, l'une d'entre-elles au moins étant une [[w:attaque suicide|bombe suicide]].<br>
La première explosion a eu lieu dans le district de Ben Aknoun dans le centre de la ville, à proximité de la Cour constitutionnelle. La seconde était placée près des bureaux de l'[[w:Organisation des Nations Unies|Organisation des Nations Unies]] dans le quartier d'Hydra. Un employé de l'ONU a indiqué à la BBC que le bâtiment s'était en partie effondré et que des personnes pouvaient être encore sous les décombres.<br>
Jean Fabre, du [[w:Programme
La plupart des victimes de l'attaque de Ben Aknoun étaient des étudiants circulant à bord d'un bus.
Les autorités algériennes pensent que les attaques ont été perpétrées par [[w:Al-Qaïda au pays du Maghreb islamique|Al-Qaïda au pays du Maghreb islamique]], qui était auparavant connue sous le nom de [[w:Groupe salafiste pour la prédication et le combat|Groupe salafiste pour la prédication et le combat]] et est parfois désigné sous ce nom. Alger a subi des attaques similaires, le 11 avril dernier, lorsque deux voitures piégées ont pris les vies de 33 personnes. Selon Reuters, certaines personnes en Algérie ont commencé à spéculer sur le fait que ces attaques du 11 décembre constituent un hommage au
[[w:attentats du 11 septembre
Anis Rahmani, expert en sécurité et rédacteur d'un journal local, a dit à Reuters que {{guil|Al Quaida voulait envoyer un message fort, qu'elle était encore capable d'agir malgré la perte de nombreux hauts dirigeants. Le problème principal est que les conditions sociales permettent toujours aux terroristes de recruter des nouveaux rebelles.}}
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