« France : l'agression d'un représentant CGT à La Poste suscite des interrogations » : différence entre les versions

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Fin 2009, il subit alors une deuxième agression par trois individus. Il s'en est ensuivi trois jours d'arrêt de travail. Des plaintes ont alors été déposées au commissariat de police. Toutes seront, sans exception, classées sans suite par le Procureur de la République. Aucune enquête n'a été ordonnée par les magistrats successifs du Parquet ce qui a suscité l'indignation du personnel de nuit de {{w|La Poste (France)|La Poste}}. Cela a eu pour effet de laisser planer des soupçons quant aux auteurs et aux motifs de ces actes.
 
Après une accalmie, de près d'un an, les lettres anonymes reparaissent mais passent au niveau supérieur. Ce sont alors des menaces de mort qu'il reçoit. Elles interviennent au moment où les premières négociations entre syndicats et direction ont déjà commencées. Celles-ci portent sur la transformation du centre du tri en PIC<ref>Plate-formes industrielles du courrier, un super centre de tri regroupant plusieurs départements. Ceux-ci remplacent les établissements départementaux.</ref>. Elles entraînent actuellement un bras de fer entre la {{w|CGT}}, ultra-majoritaire dans l'établissement, et la direction. La principale pierre d'achoppement porte sur les nouveaux horaires, beaucoup plus contraignants et de surcroît beaucoup plus pénibles selon les personnels concernés. Ils touchent de plein fouet les personnels de nuit. Ceux-ci travaillent actuellement selon le système dit des {{Citation|deux nuits sur quatre}} de 20 h/6 h.
 
== L'affaire s'envenime ==