« France : « Ce qui n'a pas marché, c'est la solidarité entre l'Italie et la France », d'après Dominique de Villepin » : différence entre les versions

[version vérifiée][version vérifiée]
Contenu supprimé Contenu ajouté
Mise en développement
 
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 :
[[Fichier:Launch Republique Solidaire 2010-06-19 n05.jpg|thumb|Dominique de Villepin en 2010]]
{{Date|24 avril 2011}}
Après l'annonce par le gouvernement français d'une possible suspension des accords de Schengen, pour freiner le flux d'immigrés clandestins tunisiens et libyens ''via'' l'Italie, Dominique de Villepin a réagit en qualifiant cette proposition d'{{Citation|erreur}}. Les accords de Schengen, débutés en 1985, garantissent la libre circulation des personnes entre les 25 États européens signataires ; Paris souhaite les renforcer dans le cadre de l'article 2.2, permettant de rétablir temporairement un contrôle des personnes aux frontières. Ce pour des raisons d'ordre public ou de sécurité.
 
{{Citation|Il ne faut certainement pas revenir en arrière. Ce serait une erreur et un très mauvais signal}}, a déclaré Dominique de Villepin à Europe 1. {{Citation|Ce qui n'a pas marché, c'est la solidarité entre l'Italie et la France}}. M. de Villepin a ajouté qu'il fallait réfléchir à de {{Citation|nouveaux outils}} pour {{Citation|renforcer la solidarité des pays européens}}. {{Citation|L'Italie n'a pas à se retourner sur les autres pays européens pour se débarrasser en quelque sorte de réfugiés qui n'ont pas vocation dans son esprit à rester sur son territoire}}, a-t-il ajouté.
 
== Sources ==