« France : François Weyergans entre à l'Académie française » : différence entre les versions
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[[Fichier:Institut de France - Académie française et pont des Arts.jpg|thumb|upright=1.5|L'{{w|Institut de France}}, où siège l'Académie française.]]
{{date|15 juin 2011}}
Demain aura lieu la cérémonie de réception de {{w|François Weyergans}} de l'{{w|Académie française}} au fauteuil 32<ref>Le fauteuil n'a pas été occupé depuis huit ans — un record.</ref>, occupé auparavant par {{w|Maurice Rheims}}
Écrivain et réalisateur belge francophone né le 2 août 1941<ref>Le 2 août 1941 selon le site de l'Académie française, mais le 9 décembre 1941 selon le site ''Internet Movie Database''
Il écrira dans les ''{{w|Cahiers du cinéma}}'' avant de réaliser en 1961 un premier film sur {{w|Maurice Béjart}}. À la suite d'une {{w|analyse}}, il publie en 1973 un compte rendu sarcastique de sa cure. C'est la substance de son roman ''Le Pitre'', remarqué par la critique, qui obtient le {{w|prix Roger-Nimier}}. Puis, en 1981, ''{{w|Macaire le Copte}}'' est consacré par le {{w|Prix Victor Rossel|prix Rossel}} en Belgique et obtient aussi le {{w|prix des Deux Magots}} en {{w|France}}. Dès lors, Weyergans se voue entièrement à la littérature, travaillant la nuit, de onze heures du soir au lendemain midi. ''Le Radeau de la méduse'' reçoit le prix Méridien des quatre jurys. Il écrit aussi ''Franz et François'', allusion à son père et à lui-même, ''La Vie d'un bébé''.
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