« Le président de la République française agressé à Brax » : différence entre les versions

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[[Fichier:Flickr - europeanpeoplesparty - EPP Summit October 2010 (105).jpg|thumb|Nicolas Sarkozy coupait court aux questions des journalistes : {{Citation1|Non, pas de problème, pas de problèmes}}.]]
{{Date|30 juin 2011}}
Le [[w:Président de la République française|président de la République]], {{w|Nicolas Sarkozy}}, a été pris à partie aujourd'hui à [[w:Brax (Lot-et-Garonne)|Brax]] où il était en déplacement. Alors qu'il prenait un bain de foule, un homme l'agrippea agrippé au col de sa veste. Les [[w:garde du corps|gardes du corps]] se précipiteprécipitent et le trentenaire est rapidement maitrisé par les services de sécurité. Il est alors placé en [[w:Garde à vue en droit français|garde à vue]] à la {{w|gendarmerie}} d'{{w|Agen}} où il est interrogé. Le chef de l'EtatÉtat a décidé de ne pas portéporter plainte.
 
L'incident s'est dérouledéroulé à Brax dans le {{w|Lot-et-Garonne}}, à quelques kilomètres d'Agen. Nicolas Sarkozy serrait la main des personnes présentes, massées derrière des barrières. Quelques rangs derrière, un homme tend la main pour saluésaluer le chef de l'EtatÉtat, puis l'attrape par le col et l'attire vers lui, se préparant semble-t-il à lale frapper de son autre main. Les services de sécurité lui font rapidement lâchélâcher prise avant de le plaquéplaquer au sol.
 
Un proche conseiller du président a assurerassuré qu'il ne porterait pas plainte. CertainCertains pensepensent que cette décision stratégique vise à améliorer l'image d'un futur candidat, en vue des {{w|Élection présidentielle française de 2012|présidentielles}}. Une enquête interne a cependant été confiée au [[w:Ministère de l'Intérieur (France)|ministère de l'Intérieur]] afin de déterminédéterminer pourquoi les services de sécurité n'ont pas pu empêcher cette empoignade.
 
Employé du conservatoire municipal d’Agen, l'homme de 32 ans àa expliqué son geste auaux gendarmes en évoquant son {{Citation1|ras le bol général}}. Sur son profil du {{w|réseau social}} ''{{w|Copains d'avant}}'', il se décrit comme un {{Citation1|glandeur de la fonction publique}} et manifeste son goût pour les groupes de {{w|black metal}}.
 
Le trentenaire pourrait tout de même être poursuivi par le parquet qui décidera vendredi si il donne suite à cette affaire. Dans ce cas, l'agression du chef de l'EtatÉtat, dépositaire de l'autorité publique, est un délit passible de trois ans de prison et de {{formatnum:45000}} euros d'amendes. L'enquête devra déterminer si il y a eu [[w:Préméditation en droit pénal français|préméditation]], comment les services d'ordres ont été déjoués (la correspondante de {{w|France Info}} explique que ces gens massés derrières les barrières ne sont pas fouillés) et quelles motivations ont poussé cet homme à agir ainsi.
 
== Sources ==