« Espace : mise en orbite réussie de deux satellites du programme Galileo par une fusée Soyouz » : différence entre les versions

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m + kazakh car ^princiapalement tirées depuis Baïkonour
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{{Citation1|Bravo l'Europe, bravo la Russie, bravo la coopération! Je pense qu'on peut dire qu'on vient d'ouvrir un nouveau chapitre de notre histoire, celui d'une Europe qui réussit (...) et qui sait coopérer}}, a déclaré [[w:Jean-Yves Le Gall|Jean-Yves Le Gall]], PDG d'[[w:Arianespace|Arianespace]] aujourd'hui.
 
En effet, la possibilité de lancer des fusées Soyouz depuis la base [[Page:France|française]] de [[w:Kourou|Kourou]] ouvre l’[[Page:Europe|Europe]] à de nouveaux marchés, sachant que, compte tenu de la [[w:Soyouz (fusée)#Lancement des Soyouz depuis le centre spatial guyanais|position]] de ce pas de tir par rapport à l'équateur, l’engin peut mettre en orbite des charges beaucoup plus élevées que depuis les pas de tir russes et kazakhs.
 
Soyouz avait décollé à 7 h 30 heure locale (10h30 [[w:Temps universel coordonné|UTC]]). Dix minutes plus tard, après la séparation des trois premiers étages, l'étage supérieur [[w:Fregat|Fregat]] abritant les deux satellites de 700 kg chacun a allumé une première fois ses moteurs. A 11 h 20 (14h20 [[w:Temps universel coordonné|UTC]]), après un deuxième allumage de cinq minutes seulement, Fregat a placé les deux premiers satellites de Galileo sur leur orbite circulaire à plus de 23 000 km d'altitude au-dessus de l'Océan indien, marquant la fin de la première mission de Soyouz depuis le [[w:Centre spatial guyanais|CSG]].