« Coupe du Monde de rugby 2011 : les All Blacks champions du monde » : différence entre les versions

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;Des fautes non sifflées
Si les équipes ont fait honneur au rugby en livrant combat intense, il en va autrement de l'arbitre sud-africain de la rencontre, Craig Joubert. S'il a sanctionné sévèrement, et à juste titre les fautes françaises, il a manifesté une trop grande mansuétude à l'égard des Néo-Zélandais qui ont multiplié les fautes au sol sans être inquiétés. Cet arbitrage, quen'a lepas échappé au journal {{Léquipe}} qui l'Équipe a qualifié de {{Citation|Maisonmaison}}<ref>Commentaires de la 74 et de la 76{{ème}} minute.On peut y lire {{Citation1|Les Français enchaînent les temps de jeu, alternent le large et le ras de marée. Les Blacks peuvent faire toutes les fautes du rugby sans être pénalisés mais les Bleus gardent le cuir.}}.Voir le film du match.</ref>,Ceci a eu pour conséquence d'agacer bon nombre de commentateurs français dont certains ont crié au scandale sur Canal Plus. Ainsi, les fautes Blacks, et non des moindres lors des mêlées ouvertes n'ont presque jamais été sanctionnées. Au palmarès, le directeur de jeu a {{Citation|oublié}} de siffler les conservations du ballon au sol par le joueur plaqué, les plongeons dans les rucks, les entrées en mêlée par les côté. Toutes ces fautes étaient passibles d'une pénalité. Au début de seconde mi-temps, M. Joubert a oublié de siffler une cravate néo-zélandaise sur un joueur français. Le plus important, c'est son refus de prendre ses responsabilités en fin rencontre notamment face à une faute kiwi en face de leurs poteaux, les locaux s'étant relevés en mêlée ordonnée. C'est une quinzaine de fautes qui auraient pu changer le cours de la rencontre.
 
En tout état de cause, cela n'enlève, en rien, au mérite des Néo-Zélandais dans la conquête du titre suprême, 24 ans après une certaine finale Nouvelle-Zélande/France en 1987.