« Troubles dans les institutions de l'UE en raison des changements prévus sur le statut du personnel » : différence entre les versions

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Les conditions d'emploi après la réforme Kinnock sont telles qu'il devient difficile de recruter parmi des ''nouveaux'' États membres comme la {{w|Bulgarie}} ou la {{w|Roumanie}}, qui disposent des qualifications demandée par l'UE mais déclinent souvent les offres. La diminution des salaires crée un grand risque de nationalisation des Institutions et donc de leur paralysie ce qui aurait pour conséquence la perte de la garantie de leur neutralité et de leur impartialité, en un mot, de leur crédibilité et de leur légitimité.
 
Les fonctionnaires, nommés qui sont responsables à vie, sont de plus en plus souvent remplacés par des agents recrutés pour une période dépassant rarement 3 ans. Ils sont parfois même remplacés par des sociétés privées ce qui peut créer un risque de dysfonctionnement des Institutions. Selon les syndicats, cette méthode de gestion des ressources humaines est aussi plus coûteuse. D'une part, elle l'est en raison des frais liés aux recrutements incessants, aux fins de contrats, à la formation et à la gestion de la transmission des connaissances. Elle est d'autant plus coûteuse lorsque le personnel est prêté par des société privées, ou lorsque des experts sont facturés plusieurs centaines, voire plusieurs milliers d'euros par jour.
 
== Sources ==