« Troubles dans les institutions de l'UE en raison des changements prévus sur le statut du personnel » : différence entre les versions

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titre faux - mot 'mouvement de grève' remplacé par 'manifestation'
diverses retouches
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La réforme Kinnock a déjà réduit les salaires dans le service public européen d'environ 20 à 30 %, ce qui représente aujourd'hui une économie comprise entre 1 à 2 milliards d'euros.
 
Depuis la réforme, les grades les plus bas (<ref>GF 1 : huissiers, dactylos …)dactylos…</ref> débutent leur carrière avec environ {{formatnum:1700}} euros (brut) et les Assistants (carrière<ref>Carrière type AST, - qui correspondecorrespondant au chefs des projets, office managers etc).</ref> commencent avec environ {{formatnum:2600}} euros (brut). Les Administrateurs (carrière<ref>Carrière type AD comprenant desles cadres comme chefs de service, directeursles )directeurs.</ref> peuvent s'attendre à environ {{formatnum:4200}}&nbsp;euros en début de carrière.
 
Ce ne sont que les rémunérations des directeurs généraux (en fin de carrière) et des Commissaires qui atteignent les niveaux compris entre seize et vingt mille euros, ce qui est souvent relaté dans les médias.
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Les réductions de [http://ec.europa.eu/staffdir/plsql/gsys_www.branch?pLang=FR&pId=9093&pDisplayAll=0 personnel de la Direction générale Énergie] qui, entre autre, a repris l'agenda d'Euratom et gère également la sécurité des centrales nucléaires dans l'UE, pourraient avoir des conséquences plus graves.
 
{{notes}}
 
== Sources ==