« Manifestation pour un service public de l'Union Européenne permanent et indépendant » : différence entre les versions

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Dans la Lettre, on pointe du doigt l'incohérence entre les objectifs proclamés par les États membres - plus de responsabilités et plus des tâches liées transférées aux Institutions européennes - et les moyens (déjà réduits par la Réforme Kinnock en 2004) qui doivent être encore diminués.
 
Des intervenants ont aussi rappelé l’effort déjà fait dans les frais de personnel, qui représente 5 milliards d’économies entre 2004 et 2012, et qui va encore produire 3 milliards supplémentaires jusqu’en 2020. Le total des économies s’élève donc à 9 milliards d'euros. (Pourpour rappel -, en 2004 avait eu lieu le plus grand élargissement de l'UE de 15 à 25 États et plusieurs nouvelles compétences ont été confiées à l'UE.)
 
Ils ont souligné, que, déjà aujourd’hui - après la Réforme 2004 -, la fonction publique européenne n'attire plus le personnel qualifié, en le payant légèrement au-dessous de la moyenne (entre {{formatnum:1700}} et {{formatnum:4200}} euros brut ; à noter que le salaire moyen à Bruxelles était de {{formatnum:3493}} euros brut en 2009<ref>[http://statbel.fgov.be/fr/binaries/SES%202009_Loon%20naar%20werken_FR_tcm326-154856.pdf Quel salaire pour quel travail ?] pg 5</ref> et les fonctionnaires sont tenus de résider au lieu de leur affectation<ref>article 20 du [http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CONSLEG:1962R0031:20080501:FR:PDF Statut]</ref>.) La pression permanente, donnant l'impression de lad'une tentative de déstabiliser les Institutions, démotiventdémotive les fonctionnaires. Les réformes voulues par les États membres réduisent d'avantage le statut et de conditions de travail, et rendent difficile d'imaginer attirer, par exemple, les macroéconomistes tri- voire quadri-langues avec connaissances des acquis communautaires, des législations nationales, des procédures du FMI etc., pour assurer la gouvernance économique.
Les réformes voulues par les États membres réduisent d'avantage le statut et de conditions de travail, et rendent difficile d'imaginer d’attirer, par exemple, les macroéconomistes tri- voir quadri-langues avec connaissances des acquis communautaires, des législations nationales, des procédures du FMI etc., pour assurer la gouvernance économique.
 
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