« Inde : le Parlement furieux contre la justice russe qui menace d'interdire un texte sacré » : différence entre les versions

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De nombreux adeptes hindous se sont rassemblés devant le consulat russe de Kolkata pour protester contre l'interdiction. Plusieurs milliers d'entre eux ont signé une pétition en ligne pour demander l'abandon des charges et le hashtag<ref>Un hashtag est un mot-clé utilisé sur le réseau social Twitter pour regrouper les discussions sur un sujet.</ref> #Gita a soudainement été très utilisé dans le cyberespace indien. Accusé de favoriser l'extrémisme et la {{Citation1|discorde sociale}} selon le bureau des procureurs de la ville de {{w|Tomsk}} en Sibérie, Bhagavad-Gītā, une traduction de l'ancien poème admiré par Léon Tolstoï et Albert Einstein, est menacé de se retrouver sur la liste fédérale de Russie de documents extrémistes — avec ''Mein Kampf'' d'Hitler — et d'être frappé d'une interdiction de distribution.
 
Une rapporteur au Parlement sur la question, le ministre des Affaires étrangères S. M. Krishna, a dénoncé mardi le procès {{Citation|absurde}} et condamne l'action de {{Citation1|{{Doute|en|somequelques ignorantignorants andmal misdirectedorientés orou motivateddes individuals}}}}individus isolés motivés, et a assuré à la Chambre que son ministère avait abordé la question avec les autorités russes, en espérant trouver une solution appropriée. Ce dernier a également décrit l'ouvrage comme {{Citation1|{{Doute|en|oneun ofdes thetraités definingdéfinissant treatisesla ofpensée Indian thought}}}}indienne, et qu'il {{Citation1|{{Doute|en|describesparle thede very soull'âme ofde ournotre greatgrande civilization}}}}civilisation.
 
De son côté, l'ambassadeur de Russie en Inde, Alexandr Kadakin, qualifie l'action en justice d'{{Citation|inadmissible}} et les instigateurs comme des {{Citation|fous}}.