« La mort de Saddam Hussein provoque encore des réactions et bien des interrogations dans le monde » : différence entre les versions

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Marianna Belenkaïa, journaliste à RIA-Novosti, soulève bien des interrogations sur les véritables motifs de l'exécution de Saddam Hussein. Dans son article, elle explique l'implication des puissances étrangères dans la dictature de Saddam Hussein. Selon l'intéressée, l'ancien raïs avait obtenu pratiquement le feu vert de Washington avant d'envahir Koweit.
 
Sur la question kurde, il semblerait, selon cette journalisejournaliste, qu'un ''{{Citation|protocole de collaboration}}'' aurait été élaboré avec la Turquie. Ce protocole aurait été évoqué pour la première fois devant les juges du procès Anfal, lors de l'audition des ordres du général Nazar Abdelkarim Al-Khazraji aux commandants du premier et du cinquième corps de l'armée irakienne. ''{{Citation|Les détails du protocole n'ont pas été divulgués. Il n'y a eu jusqu'ici aucune confirmation officielle de la coopération entre Ankara et Bagdad dans le génocide des Kurdes. Mais si on en trouve des preuves, les conséquences pourraient être imprévisibles}}'', explique la chroniqueuse.
 
''{{Citation|Saddam Hussein devrait donc partager la responsabilité des crimes avec beaucoup de personnes en Irak et à l'étranger tout comme le dirigeant de n'importe quel pays. Mais cela ne sera plus important après sa mort. Le dictateur a emporté beaucoup de secrets dans sa tombe. Pourtant on aurait pu tirer beaucoup de leçons historiques pendant le procès de Saddam Hussein,}}'' a-t-elle expliqué.