« La mort de Saddam Hussein provoque encore des réactions et bien des interrogations dans le monde » : différence entre les versions

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L'État français, par la voix de son [[w:Ministère des Affaires étrangères (France)|Ministre des Affaires étrangères]] a ''{{citation|pris acte de cette exécution}}''.
 
Dans une tribune publiée par le quotidien ''Le Monde'' le 2 janvier 2007 (édition datée du 3 janvier), [[w:Nicolas Sarkozy|Nicolas Sarkozy]], ministre de l'Intérieur, présisentprésident de l'[[w:Union pour un mouvement populaire|UMP]] et candidat déclaré à l'élection présidentielle des 22 avril et 6 mai, estime que ''{{citation|l'exécution de l'ex-dictateur irakien jette le trouble sur un événement qui aurait dû être positif pour la reconstruction de ce pays martyrisé}}'' et que, bien qu'il se soit agi ''{{citation|d'un des grands criminels de l'Histoire, [...] l'Irak se serait grandi en n'exécutant pas celui qui l'a tant fait souffrir}}''. Il a ajoute qu'il déploraitdéplore profondément ''{{citation|que Saddam Hussein, le dictateur qui avait plus de sang sur les mains que quiconque au monde, n'ait pas eu à comparaître pour ses autres crimes}}''. Rappelant au passage son opposition de principe à la peine de mort et plaidant pour son abolition totale dans le monde, M. Sarkozy déplore en outre que l'exécution hâtive de l'ancien ''raïs'' n'ait pas permis de faire ''{{citation|la lumière sur le passé}}'' et rende ''{{citation|difficile de réconcilier les différentes composantes d'un peuple au sortir d'une dictature}}''. Il conclut son intervention en estimant que ''{{citation|l'exécution de Saddam Hussein, le pire des hommes, est une faute}}''.
 
=== En Italie ===