« Manifestations dans cinq villes de France contre le réacteur pressurisé européen de Flamanville » : différence entre les versions

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{{date|17 mars 2007}} 62 000 manifestants ont défilé contre le nucléaire à travers toute la France, dont 40 000 manifestants à Rennes, 8 000 à Lyon, 5 000 à Toulouse, 5 000 à Strasbourg et 4 000 à Lille. Les manifestants s'opposent au nouveau '''[[w:réacteur nucléairepressurisé européen|réacteur pressurisé européen]]''' (EPR) à Flamanville et pour des alternatives au nucléaire en France.
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{{date|17 mars 2007}} 62 000 manifestants ont défilé contre le nucléaire à travers toute la France, dont 40 000 manifestants à Rennes, 8 000 à Lyon, 5 000 à Toulouse, 5 000 à Strasbourg et 4 000 à Lille. Les manifestants s'opposent au nouveau réacteur nucléaire EPR à Flamanville et pour des alternatives au nucléaire en France.
 
A Rennes ont défilé le candidat à la présidentielle de la LCR, Olivier Besancenot, l'ex-candidate Corinne Lepage (Cap-21) et Yves Cochet (Verts). A Toulouse, c'est la candidate des Verts Dominique Voynet qui a rejoint les manifestants. A Strasbourg, le porte-parole des Verts, Yann Wehrling, celui de la LCR, Alain Krivine, et le président du Mouvement écologique indépendant, l'Alsacien Antoine Waechter, participaient à la manifestation.
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Avec le réacteur nucléaire EPR, c’est le renouvellement du parc nucléaire français tout entier qui est en jeu avec des dizaines de nouveaux réacteurs. Le premier réacteur EPR coûterait au minimum 3,3 milliards d’euros. L’étude du cabinet d’étude d’experts “Les sept vents du Cotentin” montre que cette même somme permettrait de pourvoir aux mêmes besoins énergétiques, de développer des sources d'énergie locales à partir d’énergies renouvelables et de créer 15 fois plus d’emplois.
 
Les manifestants ont répondu à l'appel du '''[[w:Réseau Sortir du nucléaire|Réseau Sortir du nucléaire]]''', du collectif "Stop EPR" et de dizaines d'organisations, telles que Greenpeace, Agir pour l'environnement, Les Amis de la Terre, la Confédération paysanne et WWF France. Alors que 59% des Français se prononcent en faveur d'une diminution du nucléaire en France, le Réseau “Sortir du nucléaire” demande aux candidats à l'élection présidentielle de s’engager à annuler la construction de tout projet de réacteur nucléaire EPR, à Flamanville en Normandie ou ailleurs.
 
Parmis les candidats à l'élection présidentielle, Ségolène Royal (PS) s'est prononcée pour une relance du débat sur l'EPR, tandis que Nicolas Sarkozy (UMP) a affirmé que les seules énergies renouvelables ne sauraient remplacer le nucléaire.