« Grèce : la fermeture brutale de la radio-télévision publique par les autorités suscite l'indignation » : différence entre les versions

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Au siège de l'ERT, c'est l'indignation qui règne. Tandis que les animateurs déclenchent un dernier direct, des centaines de personnes se rassemblent devant le bâtiment pour protester contre la fermeture, en même temps que les journalistes. Dans les studios de Thessalonique, un intervenant de la troisième chaîne de télévision ne contient que difficilement son agacement face à la caméra.
 
À l'étranger, de nombreux soutiens à la contestation se font jour, parmi lesquels {{w|Nikos Aliagas}}, ancien journaliste pour EuroNews, joint en direct au téléphone par l'ERT, ou encore l'{{w|union européenne de radio-télévision}} qui, dans un communiqué sur son site officiel, {{citation|exhorte le gouvernement Grec à revenir sur sa décision}}. {{w|Jean-Paul Philippot}}, président de l'UER, demande au Premier Ministre {{w|Antónis Samarás}} {{citation|de faire tout ce qui est en son pouvoir pour revenir immédiatement sur cette décision}}.
 
'''Mais la fermeture de l'ERT prend un tournant autoritaire à 22h30 {{w|UTC}},''' lorsque les émetteurs de la radio-télévision publique sont mis hors-service par les forces de police, soit une demi-heure avant l'heure officielle, et ce, sans laisser le temps aux employés restés à l'ERT de fermer l'antenne convenablement.
 
Différentes justifications