« France : une possible prise d'otages dans un hôpital marseillais passée sous silence » : différence entre les versions

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;Le forcené se croyait menacé
Le patient venait de se faire opéréopérer pour une blessure par balles, et venait d'être transféré au service de chirurgie thoracique. Il étéétait persuadé que ses agresseurs allaitallaient venir l'exécuter à l'hôpital, et s'était fait amener une arme par un de ses proches. L'individu fut rapidement maîtrisé par la police, qui n'a pas retrouvé l'arme.
 
Le patient a été reconduit en dehors de l'établissement hospitalier, et a pu repartir libre de ses mouvements. De peur de représailles, le personnel n'a pas souhaité portéporter plainte. Aucune poursuite n'a donc pu être engagée à l'égardencontre de cet individu.
 
;Réactions politique
Les premières réactions ne se sont pas fait attendre. Le Front national a immédiatement réagi en stigmatisant la politique des différents gouvernementgouvernements tant que sous Sarkozy que sous Hollande. {{Citation1|Après les statistiques faussées de la délinquance sous Nicolas Sarkozy, les négations du gouvernement au sujet des agressions lâches et barbares ayant entouré le dramatique « accident » de Brétigny-sur-Orge, Manuel Valls récidive en refusant de reconnaître cette agression scandaleuse à l’Hôpital Nord de Marseille. Par la même, le ministre de l’Intérieur fait fi du traumatisme des victimes et méprise le personnel soignant qui, par crainte de représailles, a renoncé à porter plainte, ce qui en dit long sur l’état de « l’ordre républicain » dans notre pays.}} pouvait-on lire sur son site officiel.
 
Du côté gouvernemental, Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé et Manuel Valls, ministre de l’intérieur, ont renouvelé {{Citation1|leur condamnation des violences à l'encontre des professionnels de santé exposés, à l'hôpital ou en ville, à des actes d'incivilité voire à des actes de violence.}} Néanmoins, le ministre catalan a nié l'existence de toute prise d'otage, ce que conteste ''La Provence'' ou encore ''Le Figaro''.