« L'espionnage massif des États-Unis provoque un scandale en Europe » : différence entre les versions

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{{Infobox Espagne}}
{{Date|26 octobre 2013|{{w|Espagne}}}}
Après les révélations d'{{w|Edward Snowden}}, plusieurs chefs d'État ont protesté auprès du président {{w|Barack Obama}} contre le programme d'espionnage massif des agences étasuniennes. Selon Snowden, l'Agence Nationale de Sécurité<ref>La NSA.</ref> a espionné les lignes téléphoniques de 35 leaders dont les présidents {{w|Mariano Rajoy}} i {{w|François Hollande}} ainsi que la chancelière allemande, {{w|Angela Merkel}}. Selon le quotidien catalan [[w:ca:El Punt|El Punt]], cette dernière a téléphoné à Obama et dire {{Citation1|l'un à l'autre, l'un des échanges téléphoniques les plus incommodes qu'a dû recevoir le président américain.}}
 
Par ailleurSailleurs, Mariano Rajoy a convoqué l'ambassadeur des États-Unis seulement pour {{Citation1|recueillir des informations sur les articles apparus dans les médias.}} Il a déclaré : {{Citation1|Les activités d'espionnage ne sont pas convenables entre les pays associés et alliés: nous le sommes entre l'Espagne et les E.U.}} En conséquence, la confiance de la part des deux principaux partis espagnols vis-à-vis de leur partenaires Outre-Atlantique va en s'effritant.
 
En revanche, faisant fi de cette affaire, l'Union européenne a refusé de suspendre les discussions sur l'accord de libre échange avec les E.U. qui, selon certains partis politique européens<ref>Comme le Front national français.</ref>, serait d'inspiration ultra-libérale et aurait des conséquences gravissimes sur le commerce européen déjà mal en point, surtout en ce qui concerne les pays situés au sud de l'Union.