« Affaire Snowden : quatre-vingts villes espionnées par les États-Unis » : différence entre les versions

L'affaire de l'espionage en masse des États-Unis vis-à-vis de toute la planète, et même de ses alliés, n'en finit pas de provoquer de l'agitation au sein des chancelleries. Non seulement les écoutentécoutes touchaient {{w|Madrid}}, mais aussi 80 villes en plus, dont 19 auxquellesparmi lesquelles figurent {{w|Berlin}}, {{w|Paris}}, {{w|Rome}} {{w|Prague}}, {{w|Francfort}} ou {{w|Genève}}. C'est ce qu'a révélé l'hebdomadaire ''{{w|Der Spiegel}}''. Cette opération a moblisé une quatre-vingtaine d'équipes d'espionnage de la CIA et de la NSA.<ref>Agence Nationale de Sécurité.</ref>.

De pluslplus, la NSA a piraté le téléphone mobile de la chancelière alemandeallemande, {{w|Angela Merkel}}, depuis l'année 2002 jusqu'à maintenant. Cependant, le Premier Ministre britannique s'est montré complice des américains vu que Cameron a manifesté une réaction tiède et s'est démarqué de la vague de protestation de ses homologues. Les soupçons se sont confirmés quand Washington déclara {{Citation1|que ses communicationcommunications<ref>De Cameron.</ref> n'ont pas été, ni ne seront, surveillées par les USA.}} Selon ''The Guardian'', les services d'écoutes britaniquesbritanniques ont collaboré avec la NSA dans cette opération, les britanniques disposent du {{w|GCHQ}}.

En conséquence, Berlin enverra à Washington, dans les jours qui viennent, ses meilleurs spécialistespécialistes afin d'enquêter en ce qui concerne l'ampleur et les pratiques d'espionnage qui ont touché la chancelière allemande.