« Espagne: entrevue entre le gouvernement espagnol et l'ambassadeur des États-Unis sur les écoutes téléphoniques » : différence entre les versions

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[[Fichier:National Security Agency headquarters, Fort Meade, Maryland.jpg|upright=1|left|thumbnail|SeuSiège de l'Agènciala de Seguretat NacionalNSA.]]
{{Infobox Espagne}}
{{Date|29 octobre 2013|{{w|Espagne}}}}
Le gouvernement espagnol a convoqué hier l'ambassadeur des {{w|États-Unis}} afin que ce dernier s'expliquât sur l'espionnage en masse de la NSA<ref name='nsa'>National Security Agency.</ref>. L'entrevue entre le secrétaire d'État pour la Union Européene, {{w|Iñigo Mendes de Vigo}}, et l'ambassadeur, {{w|James Coston}}, a duré une quarantaine de minutes. Mendes de Vigo a manifesté la préoccupation du gouvernement vis-à-vis de l'espionnage supposé des citoyens espagnols. Il a aussi dénoncé des pratiques {{Citation1|Impropres et inacceptables entre associés et pays amis.}} Aussi, il a insisté sur l'importance du climat de confiance que doit régir les relacitionsrelactions bilatérales entre les deux pays.
 
Selon le quotidien ''{{w|El Punt Avui}}'', l'ambassadeur américain a essayé de minimiser l'affaire et d'en dissiper les doutes. Il répdonditrépondit par sa préoccupation sur les récentes divulgations d'informations classée. En conséquence, il justifia, en filigrane et sans le dire, ce programme d'écoutes qui serait, selon lui, fondamental en ce qui concerne la protection des citoyens des États-Unis et aussi {{w|dans la protection de ses intérêts.}} Il ajouta que cela {{w|n'est pas toute l'intelligence que les États-Unis sont capables de recueillir, mais plutôt l'intelligence dans ce qu'elle doit recueillir.}}
 
Le gouvernement français a aussi convoqué l'ambassadeur étasunien pour les mêmes motifs. Depuis {{w|mai 2012}}, les services de renseignements français ont suspecté un quelconque espionnage. Les serveurs du {{w|Palais de l'Élisée}} furent attaquéattaqués ce mois-là entre les deux tours de l'élection présidentielle. Le piratage des ordinateurs des collaborateurs du président Sarkozi fit émettre l'hypothèse selon laquelle les services de la <ref name="nsa" /> en serait les auteurs.
 
 
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[[Catégorie:Europe]] 
[[Catégorie:Espagne]]