« États-Unis : Obama était informé des opérations d'espionnage » : différence entre les versions

[version vérifiée][version vérifiée]
Contenu supprimé Contenu ajouté
m correction orthographe/grammaire
mAucun résumé des modifications
Ligne 2 :
{{Infobox États-Unis}}
{{Date|31 octobre 2013|{{w|États-Unis}}}}
Le président estasunienétasunien, {{w|Barack Obama}}, a bien été destinataire des rapports portant sur les opérations d'espionnage. {{w|Keith Alexander}}, chef de la {{w|National Security Agency|NSA}}, a nié devant la Commission de l'espionnage du Sénat que l'Agence eût agit pour son propre compte. Il a précisé qu'il le fit avec l'accord de ses supérieurs. Selon les vétérans du renseignement, c'est {{Citation1|absurde}} de penser qu'Obama n'était pas au courant de l'écoute du téléphone portable d'{{w|Angela Merkel}}. Ils ont affirmé qu'il {{Citation1|est impossible que le président ne sache pas que les services d'espionnage surveillent des dirigeants étrangers.}} Ainsi, les chefs des services spéciaux allemands iront aux États-Unis afin de se réunir avec leurs homologues.
 
En ce qui concerne la France, bien que Paris le niât, les services secrets ont collaboré avec la NSA dès le début de l'année 2012.
 
En revanche, le présidentPremier ministre espagnol, {{w|Mariano Rajoy}} a déclaré que {{Citation1|le gouvernement prend beaucoup au sérieux les informations publiées par les médias en ce qui concerne l'espionnage.}} Le directeur du ''{{w|Centro Nacional de Inteligencia}}'', [[w:es:Félix Sanz Roldán|Félix Sanz Roldán]], comparaîtra devant la commission des Secrets Officiels de la Chambre basse. Cette comparution aura lieu à huis clos. L’opposition, [[w:es:La Izquierda Plural|La Izquierda Plural]] et la {{w|Unión Progreso y Democracia}}, a critiqué la {{Citation1|tiédeur}} par laquelle le gouvernement a réagi à l'égard de la surveillance massive.
 
{{Traduction