« Ukraine : la loi sur la politique linguistique du pays abolie » : différence entre les versions

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Entre autre ça permet l'utilisation de cette langue dans les procédures et communications des instituts locaux avec les citoyens. En plus, pour la première fois, la langue {{w|rusyn}}e avait été reconnue comme langue aparte, pas seulement un dialect comme auparavant.
 
Après l'adoption de la loi la langue russe obtenait le statut régional dans 13 des 37 unités administratives de l'Ukraine (provinces {{w|Oblast d'Odessa|Odesa}}, {{w|Oblast de Donetsk|Donetsk}}, {{w|Oblast de Dnipropetrovsk|Dnipropetrovsk}}, {{w|Oblast de Kharkiv|Kharkiv}} et autres). Dans quelques villes et villages c'étaient le {{w|hongrois}}, le {{w|Tatar de Crimée|tatar de Crimée}} et le {{w|roumain}}, qui recevaient ce statut. En quelques régions (provinces {{w|Oblast de Ternopil|Ternopil}} et {{w|Oblast de Lviv|Lviv}}) des autorités locauxlocales refusaient d' appliquer la loi.
L'opposition contestait la loi, parce qu'elle considérait cette loi comme un menace pour la langue nationale (l' {{w|ukrainien}}) et avait promis de l' abolir au cas d' acquérir le pouvoir. Fin 2012, sur l'initiative de Vjaĉeslav Kirilenko, député de la fraction oppositionnelle {{w|Union panukrainienne « Patrie »|Patrie}}, avait été registré le projet de loi pour l'annulation de la réforme linguistique.
Après la victoire des forces de l'opposition de {{w|Mouvement contestataire de 2013-2014 en Ukraine|Euromaidan}} une partie des députés du {{w|Parti des régions}} joignait l'opposition, qui de telle façon avec plus de 300 voix obtenait la majorité parlementaire.