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{{Date|4 mars 2014}}
En {{w|Ukraine}}, le 23 février 2014,
▲[[Fichier:Possible regional languages in regions Ukraine.svg|thumb|left|300px|En couleur ont été marquées les régions en {{w|Ukraine}}, où selon le recensement de 2001 plus de 10 % des habitants ne considèrent pas l' {{w|ukrainien}} comme leur langue maternelle: rouge - {{w|russe}}; lila - {{w|russe}} et {{w|Tatar de Crimée|tatar de Crimée}}; vert - {{w|roumain}}; bleu - {{w|hongrois}}]]
La décision était soutenue par la plupart des députés des fractions oppositionnelles {{w|Union panukrainienne « Patrie »|Patrie}} et {{w|Alliance démocratique ukrainienne pour la réforme|UDAR}}, et tous les députés de la fraction nationaliste {{w|Union panukrainienne « Liberté »|Liberté}}.
La loi avait été
Entre autre
L'opposition contestait la loi, parce qu'elle considérait cette loi comme une menace pour la langue nationale (l'
▲Après l'adoption de la loi la langue russe obtenait le statut régional dans 13 des 37 unités administratives de l'Ukraine (provinces {{w|Oblast d'Odessa|Odesa}}, {{w|Oblast de Donetsk|Donetsk}}, {{w|Oblast de Dnipropetrovsk|Dnipropetrovsk}}, {{w|Oblast de Kharkiv|Kharkiv}} et autres). Dans quelques villes et villages c'étaient le {{w|hongrois}}, le {{w|Tatar de Crimée|tatar de Crimée}} et le {{w|roumain}}, qui recevaient ce statut. En quelques régions (provinces {{w|Oblast de Ternopil|Ternopil}} et {{w|Oblast de Lviv|Lviv}}) des autorités locales refusaient d' appliquer la loi.
▲L'opposition contestait la loi, parce qu'elle considérait cette loi comme une menace pour la langue nationale (l' {{w|ukrainien}}) et avait promis de l' abolir au cas d' acquérir le pouvoir. Fin 2012, sur l'initiative de Vjaĉeslav Kirilenko, député de la fraction oppositionnelle {{w|Union panukrainienne « Patrie »|Patrie}}, avait été registré le projet de loi pour l'annulation de la réforme linguistique.
Après la victoire des forces de l'opposition de {{w|Mouvement contestataire de 2013-2014 en Ukraine|Euromaidan}} une partie des députés du {{w|Parti des régions}} joignait l'opposition, qui de telle façon avec plus de 300 voix obtenait la majorité parlementaire.
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