« Vol 9525 Germanwings : le copilote était seul aux commandes lors de l'écrasement de l'avion » : différence entre les versions

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{{Date|26 mars 2015}}
Les journaux français rapportent que, selon des informations publiées par le ''{{w|New- York Times}}'', les bruits enregistrés sur l'enregistreur de voixphonique du cockpit (CVR) laissent penser que l'un des deux membres de l'équipe de pilotage aurait pu être seul aux commandes dans les minutes précédantprécédants la catastrophe, alors que le deuxième membre était désespérément bloqué derrière la porte d'accès au cockpit.
 
=== Conférence de presse du Procureur de la République de Marseille ===
À 12 h 40 (11 h 40 UTC) :
 
Lors de la conférence de presse du {{[[w|:Procureur de la République}} (France)|procureur de la République]] de Marseille des précisions sont apportées.
 
Le Procureur explique notamment que le copilote était aux commandes, lorsqu'il a enclenché, de manière volontaire, un bouton du FMS[[w:Système de gestion de vol|FMS]] pour programmer la descente de l'avion. Le commandant de bord ayantavait demandé au copilote de prendre les commandes de l'appareil afin de quitter le cockpit juste après avoir passé en revu la procédure d'atterrissage à DusserldofDüsseldorf. Il n'a, par la suite, pas donné suite aux demandes du commandant de bord d'ouverture de la porte du cockpit. Le Procureur indique également que dans l'enregistrement on entend les différents appels radio des contrôleurs aériens, lesquels n'ont obtenu aucune réponse de la part du copilote.
 
L'ensemble du comportement du copilote fait penser au Procureurprocureur de la République que le copilote avait {{citation|une volonté de détruire cet avion}} mais que {{citation|rien ne permet de dire qu'il s'agit d'un attentat terroriste}}.
 
=== Conférence de presse du ministre de transports d'Allemagne ===
À 14 h 20 (13 h 20 UTC) :
 
Le ministre des Transports allemand a confirmé les informations très détaillées fournies par le parquet et le Procureurprocureur de la République de Marseille, les services des deux pays travaillant en étroite collaboration. Pour le ministre allemand, la décision de ne pas ouvrir la porte est une décision consciente : d'un point de vue strictement technique, la porte blindée peut être déverrouillée de l'extérieur en utilisant un code connu du personnel navigant technique, sauf interdiction d'accès commandée depuis le cockpit.
 
Le ministre a indiqué que les informations données par le procureur de Marseille font « {{Citation|froid dans le dos »}}.
 
=== Conférence presse de la société Lufthansa ===