« France : proposition de loi pour interdire les machines à voter » : différence entre les versions

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[[Fichier:IVotronic img 3452.jpg|200px|right|thumb|Machine a voter a Issy-les-Moulineaux., en France.]]
{{Date|26 mars 2015}}
LeAu 5début mars,de ce mois marqué par les [[w:Élection départementale en France|élections départementales]], le sénateur socialiste des Hauts-de-Seine Philippe Kaltenbach a fait savoir son intention de déposer une proposition de loi pour interdire les [[w:Vote électronique|machines à voter]]. IlLe devait10 lamars, présenteril lea 10déposé, marscomme auil groupel'avait socialisteannoncé ducinq sénatjours françaisplus donttôt ilet attendpour le soutiendeuxième fois de l'année, une proposition de loi pour interdire ces machines.
 
FranceIl -appuie Propositionson deargument loisur pourla interdirefiabilité lesnon démontrée des machines à voter.
 
Le 5 mars, en France, le sénateur socialiste des Hauts-de-Seine Philippe Kaltenbach a fait savoir son intention de déposer une proposition de loi pour interdire les [[w:Vote électronique|machines à voter]]. Il devait la présenter le 10 mars au groupe socialiste du sénat français dont il attend le soutien.
 
Il appui son argument sur la fiabilité non démontrée des machines à voter.
 
Il considère que ces machines portent atteinte au rituel du vote, alors que le vote papier offre {{citation|un processus pédagogique de l’exercice démocratique}}.
 
En Europe, certains pays, la Belgique notamment ont arrêté ces choses après que 4 000 voix aient par erreur affecté un candidat.
En 2007, alors que 64 communes françaises s'étaient égarées dans le vote électronique, un [[{{w:|moratoire]]}} a été mis en place. Depuis lors, certaines communes françaises y ont déjà renoncé. En 2015, seules 60 communes ont persisté dans l'utilisation de ces machines. Dix de ces communes se trouvent dans les Eaux-de-Seine. Cela représente 300 000 électeurs qui sont privés du niveau de sincérité qu'assure la procédure papier.
 
En France, les villes utilisant le vote électronique sont des villes de droite.
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{{citation|Il est demandé aux électeurs de faire une confiance absolue à ces machines, sans donnée concrète quantifiable et vérifiable pour étayer cette confiance }}
Le code source de logiciels informatiques impliqués dans ce système relève parfois de la propriété intellectuelle brevetée. Il s'agit d'un secret industriel que ne partagent pas les fabricants des machines à voter. En conséquence, cela ne garantiegarantit pas la présence d'une [[W:porte dérobée|porte dérobée]]. Une telle porte dérobée, par définition indique une fonctionnalité inconnue de l'utilisateur légitime, qui donne un accès secret au logiciel.
 
{{citation|Avec le vote papier, le citoyen peut vraiment contrôler le processus. Là, il en est totalement écarté}}
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}}
 
{{Publication|statut=article|jour=26|mois=mars|année=2015}}
<!--- Dès que vous pensez que l'article peut être publié, changez « statut=développement » ci-dessous par « statut=article » -->
 
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[[Catégorie:France]] [[Catégorie:Politique]] [[Catégorie:Vote électronique]]