« Multiples incidents au défilé du 1er Mai du FN » : différence entre les versions

Comme chaque année, le {{W|Front national}} a rendu hommage à {{W|Jeanne d'Arc}} en ce premier jour du mois de mai, [[France : mobilisation syndicale pour la fête du Travail|ferié à l'occasion de la fête du travail]]. Mais plusieurs incidents au défilé parisien traditionnel viennent contrasterémailler le discours de {{w|Marine Le Pen}}, qui le voulait pourtant {{Citation1|tonique}} et {{Citation1|musclé}} selon son entourage.

Il faut se rappeler que le contexte politique et familial est compliqué au sein du parti quandlorsque la député européenne monte sur la scène de la {{W|place de l'Opéra}} : cela fait plusieurs semaines qu'elle est en conflit avec son père, ''accusé'' de ternir les efforts de dédiabolisation entrepris par la direction du parti.

Alors que Marine Le Pen commence son discours devant {{formatnum:3500}} à {{formatnum:3800}} militants (chiffres de la police), trois activistes du mouvement {{w|Femen}} apparaissent au balcon de l'hôtel adjacent, seins nus, et déploient des banderoles mêlant le logo du parti au drapeau nazi avecà l'inscription {{Citation|Heil Le Pen}}. La présidente du parti a dû interrompre sontson discours pendant plusieurs minutes.

Après quelques minutes, les militantes féministes ont été brutalement évacuées du balcon par le service d'ordre du FN, qui s'y était rendu de manière illicite selon les Femen. Il semble qu'un employé de l'hôtel les auraient pris pour des policiers en civil et leur aitaurait donné accès à la chambre en question louée par les Femen. Les Femen, les membres du service d'ordre et l'employé de l'hôtel auraient été interpelléinterpellés par la police, selon les informations de France 2.

Puis, il a rejoint la tribune installée face à l'{{W|Opéra Garnier}}, et s'est invité de manière impromptue sur scène. Il a salué la foule en levant les poings sous les acclamations d'une partie de l'assistance. Sans un regard pour sa fille, il a quitté la tribune alors qu'elle commençait son discours.

La chaîne Canal + indique cettecet après-midi qu'une de ses équipes a été prise à partie par des militants, avant de se faire évacuer par le service d'ordre. La chaîne BFM TV a diffusé des images sur lesquelles on voit le député européen {{w|Bruno Gollnisch}} attrapéattraper la perche du preneur de son à l'aide d'un parapluie. Il explique avoir détruit le {{Citation|micro-perche espion}} de l'émission ''Le Petit journal''. La chaîne dénonce également les coups que ses journalistes auraient reçureçus au dos et dansà la nuque.

Ce soir, la chaîne publique France 5 annonce qu'une équipe de l'émission ''C'est à vous'' a également été agressée, et qu'une caméra a été détruite.