« France : des centaines de personnes aux obsèques des trois adolescents tués dans l'explosion d'une maison en Haute-Loire » : différence entre les versions

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[[Fichier:Bas-en-Basset (Haute-loire) eglise Saint-Thyrse 01.JPG|vignette|{{W|Église Saint-Thyrse de Bas-en-Basset}} où les obsèques se sont déroulés.]]
{{Date|20 juin 2015}}
Plus de 3000 personnes se sont réunisréunies sur la place et le parvis de l’église de {{W|Bas-en-Basset}} ({{W|Haute-Loire}}) pour assister aux obsèques de Tristan, Maxime et Bastien, les trois adolescents tués dans l'explosion de produits chimiques dans une maison abandonnée, samedi dernier. Seulement 700 personnes ont pu pénétrer aux côtés des familles dans l’{{W|église}} tandis qu'un écran géant a été installé sur la place de l'église pour permettre à plusieurs centaines de personnes de suivre la cérémonie où l'émotion et la tristesse étaitétaient palpablepalpables.
 
La cérémonie, qui a débuté à 10h30, a été marquée par un recueillement intense, un silence total régnait durant toute la cérémonie religieuse. Au total, 3 700 personnes ont assistés à la cérémonie. Le prête qui célèbrecélèbrait la messe aurait posé la question suivante en préambule : {{Citation1|Comment mourir si jeunes, eux qui démarraient tout juste leur vie ?}}
 
Le quatrième adolescent, présent au moment de l’exposition, a été gravement blessé et est toujours hospitalisé dans un état grave au {{W|Centre hospitalier universitaire de Saint-Étienne}} : {{Citation1|Il n'y a pas d'évolution, son état est stable}}}, selon le vice-procureur de la République au {{W|Puy-en-Velay}}, {{W|Yves Dubuy}}. Les quatre adolescents ont été victimes d'une violente explosion dans une maison abandonné deabandonnée près de Bas-en-Basset, alors qu'ils manipulaient des produits chimiques dangereux qui permettent notamment de fabriquer des fumigènes artisanaux : {{Citation1|Un jeu imbécile conseillé par des gens irresponsables}}, pour Yves Dubuy.
 
Des traces importantes d'{{W|acétone}} et d'{{W|acide chlorhydrique}} ont en effet été relevées dans les débris de la maison abandonnée où les corps ont été retrouvés. Des experts de l'{{W|Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale}} (IRCGN) se sont rendus sur le lieu du drame pour prendre des mesures afin de pouvoir reconstituer en 3D la dynamique de l'explosion. La maison abandonnée où jouaient les victimes a été totalement détruite, a également ajouté le parquet.