« Grèce : la BCE estime à un minimum de 4,4 milliards d'euros le coût de recapitalisation des quatre principales banques privées grecques » : différence entre les versions

[version vérifiée][version vérifiée]
Contenu supprimé Contenu ajouté
+catg
m format du modèle unité
Ligne 1 :
{{Date|31 octobre 2015}}
La [[w:Banque centrale européenne|Banque centrale européenne]](BCE) estime à un minimum de {{unité|4,.4|milliard d'[[w:Euro|euros]]}} les besoins financiers des quatre principales [[w:Banque|banques]] privées [[w:Grèce|grecques]], soit les banques Eurobank, NBG, Piraeus et BankAlpha Bank. L'argent servirait à des fins d'assainissement de leur bilan financier et de leur [[w:Augmentation de capital|recapitalisation]]. Dans le pire des scénarios, {{citation|marqué par une forte dégradation des conditions financières et économiques en Grèce}}, les besoins des quatre grandes banques pourraient atteindre les {{unité|14,.4|milliards d'euros}}.
 
Lors de la publication récente des états financiers du troisième trimestre de 2015, les banques ont fait état d'importantes pertes liées aux [[w:Créance douteuse|créances douteuses]] ainsi qu'à la [[w:Fuite des capitaux|fuite des capitaux]] {{citation|pendant le premier semestre lors de la [[w:Crise de la dette publique grecque|crise des relations entre le gouvernement de gauche en Grèce et ses partenaires européens]]}}. Elles devraient présenter un plan de refinancement à la BCE d'ici le 6 novembre, ce qui leur permettra d'{{citation|améliorer leur résistance financière et leur capacité à faire face à de nouvelles crises}}. Le plan de recapitalisation des banques grecques fait parti de l'entente intervenue entre [[w:Gouvernement de la Grèce|Athènes]] et ses créanciers européens en juillet 2015.