« Gabon : violences suite à la réélection d'Ali Bongo » : différence entre les versions

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[[Fichier:Ali Bongo Ondimba, President of Gabon at the Climate Security Conference in London, 22 March 2012.jpg|thumb|upright=1.5|Ali Bongo le 22 mars 2012]]
{{Date|1er septembre 2016}}
Après la réélection d'{{w|Ali Bongo Ondimba}} à la présidence du {{w|Gabon}}, des violences ont eu lieu dans la nuit du mercredi {{nobr|31 août}} et du jeudi {{nobr|{{1er}} septembre}}. Le début des altercations a eu lieu avec l'attaque par la garde républicaine du quartier général de son opposant {{w|Jean Ping}}, qui se disait vainqueur depuis plusieurs jours. La police a effectué plus de {{Unité|1000|arrestations}}. De plus, le chef de police de {{w|Libreville}}, Jean-Thierry Oye Zue, a annoncé que six policiers ont été tués au cours des émeutes. De son côté, le ministre de l'Intérieur du Gabon, Pacôme Moubelet-Boubeya, a déclaré {{citation|sur Libreville, il y a entre 600 et 800 interpellations, et 200 à 300 sur le reste du pays.}}
 
 
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Lors du scrutin, la situation dans les rues du Gabon était sensible, la plupart des magasins n'ont pas ouverts et la population préfère rester enfermée chez elle plutôt que de sortir malgré une forte présence des forces armées et policières aux carrefours ou dans les airs avec des survols d'hélicoptères.
 
 
==Voir aussi==