« La Coupe du monde de rugby 2007 boycottée par plusieurs agences de presse » : différence entre les versions

[version non vérifiée][version non vérifiée]
Contenu supprimé Contenu ajouté
ajout sources
ajout infos
Ligne 4 :
 
Le différend entre les agences de presse et l'IRB couvait depuis plusieurs semaines et faisait que s'envenimer. Cette dernière entendait limiter le nombre d'images à diffuser sur internet. Les organisateurs ont dénoncé une campagne de désinformation de la part de certains médias.
 
[[w:Bernard Lapasset|Bernard Lapasset]], président de la Fédération française de rugby, partisan d'un accord entre les parties, a déclaré qu'il ''{{Citation|serait désolant de ne pas trouver l'ensemble des médias réunis, groupés derrière cette équipe de France (…) On a besoin vraiment de tous les médias, dans toutes leurs configurations, et en particulier des photographes de presse qui font un grand travail pour rendre cette Coupe du monde extraordinaire, populaire à travers le monde}}''.
 
 
a souhaité pour sa part qu'un accord se dégage. "Je pense que ce serait désolant de ne pas trouver l'ensemble des médias réunis, groupés derrière cette équipe de France, derrière cette Coupe du monde, a-t-il dit. On a besoin vraiment de tous les médias, dans toutes leurs configurations, et en particulier des photographes de presse qui font un grand travail pour rendre cette Coupe du monde extraordinaire, populaire à travers le monde."
 
== Les communiqués des agences ==
Hier, {{Reuters}} a communiqué le message suivant par la voix de Monique Villa, directrice exécutive médias de l'agence. Elle a indiqué que son agence suspendait ''{{Citation|toute couverture des événements d'avant tournoi et des séances d'entraînement de la Coupe du monde de rugby 2007 en texte, photographie et télévision.}}'' Tout en manifestant ses regrets, elle a mis en évidence {{Citation|la protection des intérêts et des droits à une couverture de tous nos clients de par le monde est extrêmement importante}} pour l'agence. Elle n'en pointe pas moins du doigt {{Citation|la réticence de l'IRB à s'engager avec nous à résoudre le différend concernant les conditions d'accréditation}}, amenant {{Reuters}} à ne pas couvrir l'évènement. Bien qu'elle aurait aimé reprendre la couverture de cet évènement, elle souligne que {{Citation|la liberté de la presse et notre honnêteté éditoriale sont au coeur de notre entreprise et doivent être respectées}}.
 
De son côté, Pierre Louette, PD-G de l'{{AFP}}, a déclaré : ''{{Citation|Après des années de montée en puissance des contraintes imposées aux journalistes dans leur travail de couverture des évènements sportifs, cette affaire vient souligner la volonté de contrôle quasi-absolu qu'ont certains organisateurs, fut-ce au détriment de la liberté réelle de rendre compte et d'informer}}''. Il entend dénoncer ''{{Citation|1=La limitation drastique du nombre de photos que nos clients peuvent utiliser sur internet, même si l'IRB a déjà un peu fait évoluer ce nombre, de 10 à 40<ref>Le nombre de photographies s'entend par match. À ce chiffre s'ajoute 10 autres photos pour la prolongation.</ref>}}'', solution ''{{Citation|encore intolérable}}''.'' {{Citation|L'IRB doit reprendre des négociations qui avaient failli aboutir à Dublin le 21 août dernier, avant un inexplicable revirement}}'', a-t-il ajouté.
 
== Roselyne Bachelot monte au créneau ==