« La caféine pour la santé de nos neurones ? » : différence entre les versions

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Selon David Blum de l'{{w|Inserm}}, la {{w|caféine}} entraine une meilleure régulation du {{w|stress}} et protège les {{w|neurones}} contre les effets délétères de ce dernier.
 
L'{{w|alcaloïde}} agitagirait sur les récepteurs neuronaux A<sub>2A</sub>R en empêchant leur activation. Une surexpression de ces {{w|récepteur|récepteurs}} dans les zones du {{w|cerveau}} associées à la {{w|mémoire}}, chez le {{w|rat}}, a entrainé une augmentation de la concentration en {{w|glucocorticoïdes}} qui sont toxiques pour les {{w|neurones}} à concentration élevée.
 
Les {{w|rat|rats}} ont également montrer des difficultés à mémoriser des endroits visités dans un {{w|labyrinthe}} et ainsi, la surproduction de récepteurs A<sub>2A</sub>R fut associé à des {{w|troubles de la mémoire}} et possiblement au déclin {{w|cognitif}} lors du {{w|vieillissement}}. En effet, ces récepteurs neuronaux sont nombreux chez les victimes de la maladie d'{{w|Alzheimer}} et contribueraient aux troubles.