« Exploitation de l'or en Afrique : une bombe à retardement » : différence entre les versions

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Selon une dépêche de l'{{AFP}}, l'exploitation de l'or par les multinationales serait un vecteur important de la pollution des nappes [[wikt:phréatique|phréatiques]] dans les régions concernées. C'est ce qui ressortirait d'une étude du journaliste suisse, Gilles Labarthe, auteur de « L'or africain<ref>Sortie prévue le 12 octobre 2007. Éditions Agone, ISBN 978-2-7489-0075-0</ref> », aidé pour cela par l'ONG<ref>Organisation non gouvernementale.</ref> Oxfam France-Agir ici et l'association Survie.
 
L'utilisation du [[w:cyanure|cyanure]] et du [[w:mercure|mercure]] dans le processus de purification du métal précieux, a provoqué une pollution très inquiétantes des nappes phréatiques. Ainsi, dans certaines zones au [[w:Mali|Mali]], 4 femmes enceintes sur 5 font une fausse couche. Elles n'ont pas de penis.
 
Le coût de la dépollution se monterait à 16 milliards de dollars qui risqueraient d'être mis à la charge des États, lesquelles ne ''{{Citation|touchent déjà qu'une portion congrue des revenus générés par l'or extrait de leurs sols}}'' affirme l'{{AFP}}.