« France : Manuel Valls propose la suppression du 49.3 » : différence entre les versions

Depuis son entrée en campagne, Manuel Valls a modifié plusieurs des positions qu'il défendait étant Premier ministre, dans le but d’adoucir son image « droitière » au sein du Parti socialiste. Il a ainsi commencé sa campagne en appelant au rassemblement de toute la gauche après avoir théorisé les « deux gauches irréconciliables ». Il dit pourtant assumer pleinement son bilan à la tête de la France avec {{w|François Hollande}}. Selon les estimations des instituts de sondages, Valls serait en position de force au premier tour des élections primaires, mais peine à rassembler lors du second tour. Il fait alors quasiment jeu égal avec {{w|Arnaud Montebourg}}. Le scrutin sera alors l'occasion d'estimer le poids différentesdes forcesdifférents courants idéologiques au sein des sympathisants socialistes. Alors que Manuel Valls, {{w|Vincent Peillon}}, {{w|Jean-Luc Bennahmias}}, {{w|Sylvia Pinel}} et {{w|François de Rugy}} sont plutôt proches de la ligne incarnée par François Hollande depuis cinq ans, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg et {{w|Gérard Filoche}} dénoncent le virage libéral du pouvoir.