« France : pas d'alliance possible entre Hamon et Mélenchon » : différence entre les versions

Depuis la victoire de {{w|Benoît Hamon}} à la {{w|Primaire présidentielle socialiste de 2017|primaire socialiste}} le 29 janvier 2017dernier, le député de {{w|Trappes}} n'a cessé de promettre une alliance avec {{w|Jean-Luc Mélenchon}} afin de permettre une victoire de la gauche en mai prochain. Dès le 1{{er}} février, le candidat de la {{w|France insoumise}} avait posé sur sa chaine {{w|YouTube}} des conditions avant la formation d'une éventuelle alliance. Il réclamait que BenoitBenoît Hamon écarte des législatives de juin 2017 certains ténors de l'aile droite du {{w|Parti socialiste (France)|Parti socialiste}}, notamment {{w|Manuel Valls}} et les deux ministres {{w|Marisol Touraine}} et {{w|Myriam El-Khomri}}. Cette dernière est notamment la porteuse d'une {{w|loi travail}} que les deux candidats de gauche prévoient d'abroger s'ils étaient élus.

Le 17 février, Benoît Hamon est entré en contact avec Jean-Luc Mélenchon. Mais dès le 18 février, soit à peine une journée plus tard, le candidat socialiste indique que les négociations ont échoué. Il faut dire que les deux candidats ont chacun exclu de retirer leur candidature. « Je ne courrai pas après Jean-Luc Mélenchon, je ne courrai après personne. », a déclaré Benoît Hamon au {{w|Portugal}}. Il a également considéré être le mieux placé pour l'emporter. Dans le même temps, il continue les négociations avec le candidat {{w|écologiste}} {{w|Yannick Jadot}}.