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* http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/disparition-d-une-famille-a-orvault/affaire-troadec-la-mere-de-pascal-troadec-confirme-qu-un-tresor-d-or-est-a-l-origine-du-drame_2088231.html
 
La mère de Pascal Troadec a confirmé qu'un trésor d'{{w|or}} était la cause du drame, alors que la mère du suspect avait, il y a quelques jours, qualifié cette hypothèse de {{Citation|légende familiale}}.
 
{{Citation|Cette affaire terrifiante trouve son origine dans un trésor composé de lingots et de pièces d'or que mon mari avait caché dans le garage de notre maison}}, ajoute-t-elle, précisant que {{Citation|cet or a tout brisé}}.
 
Cet or était {{Citation|volé peut-être}}, {{Citation|à la {{w|Banque de France}}}}, {{Citation|lors de la seconde guerre mondiale}}, selon elle. Après la mort du père en 2010, la mère avait été hospitalisée. Pascal Troadec se serait alors emparé de cet or. {{Citation|Pascal m'a demandé la clé de la maison et a profité de mon absence pour s'emparer de cet or ! Il a spolié sa sœur Lydie ! J'ai bien essayé d'intervenir et d'arbitrer. J'ai dit que je n'étais pas d'accord, mais Pascal est devenu très autoritaire et m'a dit de me taire.}}, précise-t-elle, ajoutant qu'{{Citation|(il) se vantait d'avoir placé l'or à Monaco et en Andorre et qu'il y en avait assez pour vivre longtemps. Mais qu'on ne pouvait pas y toucher.}}.
 
Il refusait depuis de partager, ce qui avait envenimé les relations avec son beau-frère, et abouti au drame de février.
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{{w|Christian Jacob}} ({{w|Les Républicains|LR}}) a souhaité pour sa part {{Citation|que le PNF [parquet national financier] se saisisse rapidement}} du dossier.
 
Mercredi après-midi, le PNF a lui indiqué à l'{{w|AFP}}, par l'intermédiaire d'un porte-parole, que {{Citation|le parquet national financier a pris connaissance de l'article du ''Canard enchaîné''. Il s'est rapproché de l'Inspection générale des finances pour obtenir plus d'informations. Dès que nous aurons plus d'éléments, nous envisagerons avec le parquet de {{w|Paris}} les suites éventuelles à donner.}}.
 
* http://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/trois-questions-sur-la-mise-en-examen-de-benoit-hamon-qui-affole-l-extreme-droite_2086959.html
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Cette {{w|mise en examen}} ne serait cependant qu'une question de procédure. En effet, en cas d'injure publique ou de {{w|diffamation}} présumée, la mise en examen est systématique. Il a suffi de confirmer que Benoît Hamon est bien l'auteur des propos litigieux, ce qui a été très simple, le tweet étant encore en ligne.
 
L'avocate de Benoît Hamon précise d'ailleurs à ''{{w|Libération}}'' que Nicolas Miguet a invoqué l'injure publique et non la diffamation. {{Citation|Pour attaquer Hamon en diffamation, la procédure pénale aurait exigé de lui qu’il rapporte la preuve que l’injure à son encontre était fausse.}}, explique-t-elle. Mais Nicolas Miguet avait été, en 2014, condamné à 600 000 euros d’amende par l’{{w|Autorité des marchés financiers}}, pour cause de {{w|conflits d’intérêts}}. Or, la procédure pour injure publique n'entraîne pas de débat sur lesla véracitésvéracité des propos incriminés, permettant ainsi une mise en examen automatique.
 
 
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On a relevé des pointes de vent jusqu'à 300 km/h. Enawo a ensuite faibli et été rétrogradé en {{Citation|tempête tropicale}}, selon les services météorologiques malgaches. Les vents soufflent néanmoins encore à 130 km/h.
 
{{w|Rivo Randrianarison}}, directeur des services météorologiques malgaches, a déclaré qu'il s'agit d'un des pires {{w|cyclone}}s enregistrés ces dernières années sur l'île. {{Citation|Enawo a la même intensité que ceux qui ont semé le chaos, comme {{w|Cyclone Indlala|Indlala}} en 2007, {{w|Cyclone Ivan|Ivan}} en 2008, {{w|Cyclone Gafilo|Gafilo}} en 2004 ou {{w|Cyclone Giovanna|Giovanna}} en 2012}}, précise-t-il.
 
Le cyclone avait abordé les terres mardi à {{w|Ampahana}}, sur la côte nord-est de l'île, dans la région productrice de {{w|vanille}}.
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L'ancien candidat à la {{w|Primaire présidentielle des Républicains de 2016|primaire de la droite et du centre}} {{w|Alain Juppé}} a annoncé lundi matin qu'il ne serait pas un {{Citation|plan B}} pour la candidature de la droite à la {{w|Élection présidentielle française de 2017|présidentielle}} dans le cas où {{w|François Fillon}} jetterait l'éponge.
 
{{Citation|La semaine dernière, j’ai reçu de nombreux appels me demandant de prendre la relève. Ils m’ont fait hésiter, j’ai réfléchi. Aujourd’hui ce rassemblement est devenu plus difficile encore. Une partie du centre nous a quitté. Le noyau des militants {{w|Les Républicains|LR}} s’est radicalisé (...) Je ne suis donc pas en mesure aujourd’hui de réaliser le nécessaire rassemblement autour d’un projet fédérateur, c’est pourquoi je confirme, une bonne fois pour toutes, que je ne serai pas candidat à la présidence de la République. Il est trop tard.}}, a-t-il ainsi affirmé.
 
Il devrait néanmoins rencontrer François Fillon pour trouver {{Citation|une voie de sortie digne et crédible à une situation qui ne peut plus durer et qui crée un trouble profond chez les Français}}, une proposition dont {{w|Nicolas Sarkozy}} est à l'origine.