« "Gilets jaunes" : troisième week-end de mobilisation » : différence entre les versions

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{{w|Édouard Philippe}}, le premier ministre français, s'est rendu à la mi-journée à la préfecture de police de Paris pour suivre {{citation|les incidents en cours}}. Il avait reçu deux représentants des gilets vendredi, dont l'un est ressorti aussitôt car le Premier ministre a refusé les caméras lors de l'entretien. Toujours hier, Édouard Philippe avait indiqué que {{citation|la porte de Matignon sera toujours ouverte}} aux "gilets jaunes".
 
[[Emmanuel Macron annonce sa candidature à la présidentielle française|Emmanuel Macron]], le président français , à posté sur son compte Twitter , par rapport au événement du 1er décembre , que "Ce qu'il s'est passé aujourd'hui à Paris n'a rien à voir avec l'expression pacifique d'une colère légitime." Réaction envoyé depuis l'Argentine où se tenait le G20, pendant qu'en France les affrontements entre forces de l'ordre et manifestants éclatent dans la capital. Certains y voient un mépris du gouvernement et du président lui-même, qui quitte le pays avant chaque mouvement prévu des gilets jaunes et qui en ce moment a entrepris des travaux au palais de l'Elysée pendant que les gilets jaunes crient leurs souffrances sur les champs Champs-Elysée. Des gilets jaunes qui ont prévu un quatrième acte se rendent à la {{w|Bastille}}, symbole fort de la révolution française de 1789.
 
Depuis hier, les gilets jaunes ont aussi fait leur apparition dans d'autres pays. Vendredi, ils sont apparus à {{w|Bruxelles}} (carrefour {{w|Arts-Loi (métro de Bruxelles)|Arts-Loi}}), où à peu près 60 personnes ont été interpellées et deux voitures de police ont été brûlées. Aujourd'hui, des manifestants vêtus de gilets jaunes sont apparus aussi dans quelques villes néerlandais ({{w|La Haye}}, {{w|Nimègue}}, {{w|Maastricht}}).