« France : vers une surveillance très étroite des internautes » : différence entre les versions
[version non vérifiée] | [version non vérifiée] |
Contenu supprimé Contenu ajouté
Mise en Développement. La suite au prochain numéro |
Notes de bas de pages. - ajout infos - catégorie ajout sources |
||
Ligne 1 :
{{pas fini}}
{{date|27 février 2008}}
Le journal
Certaines réserves ont été émises par le CSSPPCE<ref>Commission supérieure du service public des postes et télécommunications</ref> le 24 octobre 2007. Selon le quotidien Les Échos, la commission aurait pris acte des inquiétudes suscitées par les différents acteurs de l'Internet. La commission reprocherait au texte son absence de ''{{Citation|lisibilité et de cohérence du périmètre des données à conserver (…) conséquences de l'empilement des textes sur la lisibilité et la cohérence des obligations imposées (…) La liste des données [à conserver] reste floue}}'', notamment sur toutes celles qui autorisent ''{{Citation|l'identification de quiconque a contribué à la création du contenu ou de l'un des contenus des services}}'' . Toujours selon la même source, les hébergeurs ne conserveraient ''{{Citation|aucune trace des modifications faites sur le contenu et, de manière générale, sur les contenus qui se succèdent sur un site}<ref>information reprises depuis le journal Les Échos.}''</ref>}
Cette révélation a causé un certain émoi chez les différents acteurs liés à la vie de l'Internet. ▼
En outre, la commission a ajouté que les mots de passe ne doivent {{Citation|pris en compte}} puis a rappellé que l'adresse IP est, selon la CNIL, une donnée à caractère personnelle pour en conclure : ''{{Citation|qui paiera les coûts de stockage ?}}''.
{{notes}}
== Voir aussi ==
Ligne 19 ⟶ 25 :
|publication=Les Échos
|date=19 février 2008}}
{{Développement}}
[[Catégorie:Europe]]
[[Catégorie:France]]
[[Catégorie:Politique française]]
[[Catégorie:Internet]]
[[Catégorie:Libertés individuelles]]
|