« France : vers une surveillance très étroite des internautes » : différence entre les versions

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Certaines réserves ont été émises par le CSSPPCE<ref>Commission supérieure du service public des postes et télécommunications</ref> le 24 octobre 2007. Selon le quotidien Les Échos, la commission aurait pris acte des inquiétudes suscitées par les différents acteurs de l'Internet. La commission reprocherait au texte son absence de ''{{Citation|lisibilité et de cohérence du périmètre des données à conserver (…) conséquences de l'empilement des textes sur la lisibilité et la cohérence des obligations imposées (…) La liste des données [à conserver] reste floue}}'', notamment sur toutes celles qui autorisent ''{{Citation|l'identification de quiconque a contribué à la création du contenu ou de l'un des contenus des services}}'' . Toujours selon la même source, les hébergeurs ne conserveraient ''{{Citation|aucune trace des modifications faites sur le contenu et, de manière générale, sur les contenus qui se succèdent sur un site}}''<ref>information reprise depuis le journal Les Échos.</ref>
 
En outre, la commission a ajouté que les mots de passe ne doivent être {{Citation|pris en compte}} puis a rappellé que l'adresse IP est, selon la CNIL, une donnée à caractère personnelle pour en conclure : ''{{Citation|qui paiera les coûts de stockage ?}}''.
 
Cette révélation a causé un certain émoi chez les différents acteurs liés à la vie de l'Internet d'autant plus qu'un second décret serait en préparation en ce qui concerne les cybercafés. L'affaire avait été mise au grand jour un an auparavant. Les acteurs de l'Internet avait qualifié de projet de ''{{Citation|Big Brother}}'' auquel Wikinews avait fait écho.